Le règne de Berzeroth
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Le règne de Berzeroth

L'histoire de Berzeroth et son armée
 
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 Melkian Vostros

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Melkian Vostros
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Melkian Vostros


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MessageSujet: Melkian Vostros   Melkian Vostros EmptySam 8 Avr - 12:53

Description physique : D’une grandeur moyenne à celle des drow, Melkian ne possède aucun trait particulier si se n’est que sa peau est un peut plus blanc que la moyenne. Ne couvrant de vêtement que ses jambes il laisse la plus part du temps son torse à découvert. Pour plus d’aise et par simple fierté.

Description phycologique : Très proche de ses émotions il les ressent toute avec une intensité démesuré. L’amour qu’il porte au être vivant est aussi grand que la haine qu’il se porte à lui-même. Toujours assoiffé de sang, il essai tout de même de se contrôler et se nourri des êtres au cœur impure. Melkian est en grande partie un être bienveillant, mais lorsqu’il déteste quelqu’un il le déteste avec une passion surhumaine.

La vie de mortelle :
« Je me rappelle l’époque où je n’était qu’un enfant et que la simple préoccupation que j’avais était de m’affairer à faire mes devoirs. Je me rappelle de l’époque où l’amour n’existait pas pour moi et ne voulais rien dire, comme je voudrais y retourner, comme je voudrais m’isoler de se monde en pleine dégénérescence où les guerres et les conflits fructus de jour en jour… Mon nom est pour l’instant sans aucune importance car l’histoire que je m’apprête à vous révélez renferme se que je suis et dévoile mes sentiments encore plus profondément que je ne pourrait jamais l’exprimer autrement que dans ce journal.

Je suis un drow, un être aux oreilles pointu et à l’apparence svelte donc le simple nom fait trembler l’homme le plus téméraire. L’héritage que mon peuple m’as donné est depuis ma naissance un vrais supplice car je ne suis pas comme mes frères, leurs simple vue me donne le goût de vomire et leurs action me démontre que nous sommes en se monde la pire aberration que les dieux n’ont jamais crées. Mon cœur est lourd de chagrin, et le simple fait de me rappeler mon passé me fait pleurer, car oui je pleure, malgré tout ce que mon père à essayer de m’enseigner, malgré tout ceux qui ont tenter de m’influencer je ne me suis délecter que de leurs bontés m’efforcent d’oublier le mal qu’ils incarnaient.

J’ais été élevé pour être un homme de lettre, un politicien et un guerrier, mais malgré tout ces talents, malgré toute les valeurs maléfiques que l’on n’ais put essayer d’insurger dans mon esprit, je suis resté intègre à moi même et j’ais refuser avec grande obstination de devenir comme mes semblables. Car mon plus grand cauchemar et ma plus grande défaite aurait été en se temps l’abandon au mal…

Je suis née dans une époque de trouble, dans une époque où la logique n’avait pas sa place et que les seuls questions que le peuple devaient se poser était relié à la satisfaction de la grande matrone. Mon père était un sénateur réputé et ma mère une prêtresse noir, tout deux convaincu de la nécessité de préserver leurs descendance m’on conçu afin que je suivre leurs trace et qu’un jour j’accomplisse se que eux avaient échouée. Déjà le fait d’avoir été conçu non pas par amour mais par nécessité suscita en moi, à l’adolescence, une remise en question importante qui allait plus tard me conduire où j’en suis maintenant.

Tout jeune ont m’enseignait l’art de la guerre, ont me montrait à parler la langue drow et une panoplie d’autre dialecte que je m’efforcerait d’énoncer plus tard si j’en vois une utilité. La politique et l’histoire culturel de mon peuple m’enseignaient dès lors les choses qu’un jeune drow comme moi aurait dû absorber et appliquer comme tout les autres enfant de ma génération. Cependant ma vision des choses différait de celle de mes parents car plus j’en apprenais sur nôtre peuple plus je sentais le dégoût me submerger. Mes parents, loin d’être complètement stupide remarquèrent très rapidement que mes opinions divergèrent dangereusement des leurs et m’envoyèrent dans une sorte d’académie militaire pour que je me résolve enfin à accepter leurs convictions.

Dès mon premier jour passer à cet endroit je savait que j’allait y vivre un enfer et lorsque les autres élèves constatèrent mes différences moraux ils se liguèrent contre moi et essayèrent plus d’une fois de mettre fin à mes jours. Notre société était à se point souffrante qu’ils avait complètement lobotomisé le cerveau des jeunes enfant en leurs faisant accroire que le mal serait la seul voix possible à accepter. J’y était donc seul, sans allié et plus d’une fois j’ais faillit renoncer à mes conviction pour ressembler au autre mais j’avais atteins un tel point de non retour moral que le simple fait d’y avoir pensé faisait de moi un monstre comme eux tous.

Comprenez-moi, je ne dis pas que nous sommes se que nous sommes parce que la société veux que l’ont soit se qu’ils sont… Non j’en suis la preuve vivante, je suis certain que notre peuple est capable de pensée individuellement et de se rendre enfin compte qu’il a tord, mais lorsqu’une majorité de gens croit en une fausse vérité, il est très difficile pour une minorité de faire sortire la vérité, c’est alors que ceux épris de tel conviction se taise et laisse à jamais le mal les ronger. J’avais donc décidé en fin de compte de rester comme je suis et si la mort devait être mon destin alors s’aurait été avec plaisir que je l’aurait accueillit… Utilisant la puissance de la parole en mainte reprise pour me sortire de situation délicate j’acquis rapidement une réputation d’orateur et à force de parole je réussit à faire de cet académie militaire un endroit un peut plus agréable à vivre.

Il y avait tout de même quelque fois où la parole ne pouvait pas convaincre les plus bornée d’entre eux et je devais donc utiliser la puissance de mes armes. Je ne me battais pas avec colère, je ne me battais non plus par haine envers eux mais plutôt par amour pour mes convictions, je me battais avec sérénité et aucune peur en se monde ne pouvait venir troubler ma quiétude durant les combats que je menais. Chacun d’eux je les considérais comme une nouvel épreuve sur le chemin de la paix et de la bonté que je cherchais tant à ranimer chez notre race.
J’avais à ce moment pris la décision de me lancer en politique et d’accomplire se que je croyait bénéfique pour nôtre peuple, j’avais dans la ferme intention de faire comprendre à mes frères que la violence et le mal était inutile et que la véritable puissance se trouvait dans le désire d’être capable d’accepter la paix et de respecter la vie comme il se devait.

Après enfin trente ans passé à étudier l’art de la parole, l’art du combat et la politique je sortit avec joie et j’obtins alors le respect de mes parents. De retour à la demeure familial mon père m’annonça avec enthousiasme sa nomination au poste de sénateur supérieur à la cour de la grande matrone. Il m’annonça aussi qu’il pouvait si je le voulait m’offrire un poste à l’intérieur du palais sacré. Enthousiasmer par l’idée que je serait peut-être capable de changer les choses de l’intérieur j’accepta le poste de garde et me permis de rêvasser à l’idée qu’un jour je serais peut-être aussi respecté que mon père et que se jour là je ferais de se monde un endroit de paix et d’amour…

Quelques mois seulement après mon arrivé en poste au palais je tomba éperdument amoureux d’une des prêtresses donc j’avais la charge de protéger. Son souffle était pour moi la pitance du mendiant et sa beauté une lumière divine traversant directement les portes interdites jusqu’à mon cœur. À cette époque j’était dans la fleur de l’âge et ma beauté ne faisait qu’augmenter l’innombrable attraction que je produisait sur les autres. Mon visage emplis de sincérité, mon cœur empli d’amour et mon esprit inondé d’une vision de paix faisait de moi un être complètement à part des autres drow.

C’est sans doute pour cette raison que cette même prêtresse me fit muter dans sa garde personnel et qu’un jour elle m’offrit la couche dans sa demeure. La première fois que nous fîmes l’acte, nous restèrent allongé l’un sur l’autre des heures durant à se contempler mutuellement et à s’aimer dans un silence et une compréhension total. Alors que les nuits passaient en sa compagnie et que tout deux savions que nôtre amour nous étaient interdit nous essayèrent de nous éloigné l’un de l’autre mais à chaque rencontre nous succombèrent à la force de nôtre amour.

Je lui récitais des vers de poésie elfique et alors que dans mon enthousiasme elle me souriait et me demandait encore et encore de lui réciter les vers, les plus magnifique, je ne me doutait pas à se moment que nôtre liens aussi puissant soit-il serait détruit aussi brusquement qu’il avait commencer… Un jour, le jour où nôtre amour avait atteins son apogée mon père nous surprit nous étreignant l’un à l’autre et fou de rage il fit appeler la garde du palais.

J’eus bien essayer de le raisonner, de lui dire que je l’aimais d’une force inconditionnel et que rien au monde ne pourrait nous séparer, il ne voulut rien entendre. Le fait de m’avoir surprit dans les bras d’une prêtresse sans envergure l’avait rendu dans une rage qui m’était incompréhensible. Jurant devant les dieux de me détruire si je ne laissait pas les gardes l’amener, je sentit pour la première fois mes instincts maléfique se réveiller puis alors que je me leva du lit pour faire face à mon père, celui-ci dégaina sa dague et la planta en plein cœur de ma tendre aimé.

Je restait là, immobile à regarder le corps de celle que j’avais aimé avec tant de vigueur et d’amour que la rage qui s’empara de moi n’eût pus être contrôler par quiconque. Dégainant mon cimeterre à deux main, je m’élança férocement vers mon père et en quelques seconde à peine je lui trancha la tête, les gardes qui avaient assisté à la scène fût ébranlé de voir leurs sénateur tué devant eux et se jetèrent aussitôt sur moi. Les bras et le torse blessé je fonça moi aussi droit vers eux et j’ouvrit le chemin qui devait me rendre la liberté. Refusant de tué les gardes je m’enfuis du palais et rassembla en peut de temps les choses qui pourraient m’être utile à la demeure familiale.

Après cette période décisive de ma vie je me noya dans la solitude et vécus en ermite durant une longue période… Maintenant je me suis réveillé sous un jour nouveau, devant l’incompréhension j’y est trouvé le destin qui m’est destiné et sous ses dernières lignes je me lèverait et partirait répandre mes pensées au plus ignoble des êtres quoi qu’il m’en coûte… »
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MessageSujet: Re: Melkian Vostros   Melkian Vostros EmptySam 8 Avr - 12:54

La transformation :

« Chère journal, aujourd’hui est l’un des jours les plus sombre de ma vie, s’est d’ailleurs peut-être pour cela que je te relaterais comment par quel chance et souffrance j’ais rencontré l’amour de ma vie…

Ma vie ne pouvait qu’aller au mieux car j’avais atteint mes buts que je m’était fixé, j’étais devenu grand sénateur de la citée drow et je servait fièrement la grande Caliste tout en l’encouragent à suivre ma philosophie de la bonté. Puis un jour alors que je m’aventurais un peut trop loin de la citée, je l’aperçu…

Elle était d’une beauté incomparable à aucun être vivant que je n’ais jamais rencontrer dans ma vie, elle était humaine mais je ne pouvait qu’être émerveillé devant tant de beauté. Elle possédait de long cheveux noir qui ne s’arrêtait qu’à la coupe de son magnifique postérieure, elle possédait des courbes dont je me souviens encore à la perfection, son visage était pâle mais la couleur de ses lèvres rouge sang me donnait l’impression qu’elle était infaillible au temps. Ses yeux noir étirée en amande ne faisait qu’embellire l’être le plus beau de se monde.

Ne soyez pas prompt à me juger car sa beauté extérieure n’était que le reflet de son âme qui me semblait au premier abord d’une pureté infinie. Je la désirais, oui dès le premier regard, j’observais sa robe démodée, ses cheveux sombres, ses seins opulents, son nez si parfait et la chose qui me frappa le plus fût à l’instar son absence complet de ride. J’étais figé d’émerveillement devant elle comme si elle avait été la plus grande merveille de se monde. Jamais je n’aurais crûs de toute ma vie tomber amoureux dès les premiers instant d’une créature que je croyais humaine…

J’avais contempler bien des beautés avant elle mais aucune ne pouvait rivaliser avec cette exquise créature. Alors que je la regardais sans aucune pudeur elle me fit un sourire que je me rappellerais le restant de mes jours, son sourire était si parfait que j’en étais bêtement sidérés… La confiance habituel que je possédait s’évanouissait à l’instant même et mon cœur battait si fort que n’importe quel être aurait pût l’entendre. Elle m’observait et me jugeait de son regard, à mon grand étonnement elle ne fût pas outragée par mon attitude mais plutôt amusé.

Tandis que je la regardait avec un peut plus d’assurance, elle me demanda mon nom et lorsque sa voix mélodieuse pénétra mes oreilles je perdis le peut confiance qui me restait. Nous restâmes là, l’un devant l’autre à se contempler, moi qui m’efforçais de trouver les juste mots et elle qui attendait semblait-il avec le plus de patience au monde ma réponse. Je restais là, tel un nouveau née découvrant le monde, elle me regardait avec un regard qui n’avait rien de mesquin ni même moqueur, mais plutôt avec une prunelle emplie d’une compassion que je ne pouvait comprendre à se moment.

Je réussi cependant à lui souffler qu’elle était une déesse parmi les mortels, puis en signe de réponse, elle me fit un sourire et me répondit sur un ton de tristesse qu’il en était bien autrement. Ne sachant que répondre, je tendis ma main vers elle l’implorant de me laissé là toucher afin de m’assurer qu’elle était bel et bien réel. Elle me laissa approcher et lorsque je tâta sa peau je constata qu’elle était aussi douce que la soie mais aussi dur que le marbre. Le temps me semblait être altéré à cet instant que j’immortalisais en secret dans ma mémoire, je monta alors ma main jusqu’à ses cheveux et j’y emmêlais mes doigts avec un tel plaisir qu’elle aurait pût me prendre pour un simple d’esprit.

Jamais elle n’avait vue un être aussi passionné que moi m’avait t’elle soufflé à l’oreille au moment où je m’approchait pour l’embrasser. Je devait en se moment assouvire une pulsion qui m’ordonnait de l'enlacer puis alors que mes lèvres embrassèrent les siennes, elle me repoussa sauvagement et je fût projeté à deux mètres sur le sol avec se qui me semblait une où deux côtes fracturé… Je restait là agenouiller devant elle lui priant d’excuser mon comportement, lui priant qu’elle me donne le droit de la connaître.

Épris de la même pulsion qui m’avait férocement attiré à elle, elle se jeta sur moi, puis d’un simple mouvement du bras elle me tira à elle et je sentis mon corps se frappé contre le siens… Si douce pouvait-elle être, si dur était son corps, elle m’embrassa alors avec une telle passion que je ne puis la décrire totalement aujourd’hui. Nous, nous embrassâmes ainsi durant je ne sait combien de temps…Ma main découvris avec émerveillement les partis les plus intimes de son corps et alors qu’elle m’arracha violemment ma tunique, je descendais avec douceur les bretelles de sa robe..

Nous étions deux amoureux épris d’un coup de foudre immense qui se laissait allé à la plus tendre des passions, le plus merveilleux des péchées et la plus belle preuve d’amour l’un pour l’autre. Lorsque mon dos érafla les parois de roche de la caverne je ne lâcha aucun cris de douleur car j’étais éperdument extasier par l’acte que nous nous apprêtions de mener à terme. Puis brutalement elle m’attira vers le fond de sa caverne et j’y découvris dans un élan de passion des richesses que je n’aurais sus décrire… Elle me poussa sur le lit puis à son tour elle vînt me rejoindre pour recommencer encore et encore l’acte qui nous unissait corps et âme jusqu’à ce que nôtre amour ne fasse qu’un. Je parcourais à ce moment précis son corps de ma main libre et parcourait tendrement ses cheveux de mon autre main. Elle me parcourait le visage de ses douces mains puis, s’inclinant vers se qui se trouvait à être mon coup, je sentit une étrange morsure et alors que je relevais les yeux pour voir se qui était en train de m’arriver elle me vida brusquement de mon sang sans que je n’y puisse rien.

Alors que je ne pouvais rien à son emprise elle s’ouvrit l’un de ses poignets à l’aide de ses longues et magnifique canine puis m’emplie ma bouche de son sang… Épris d’une pulsion que je ne comprenais, je buvais à même son poignet le sang qui s’y écoulait avec une tel vigueur que j’en perdait toute raison. Je me délectais de se liquide chaud et voluptueux que je n’avais jamais bu auparavant. Me servant de mes canines que je sentais se développer au fur à mesure que je buvais de son sang, je me releva la tête et plongea mes Cros dans son seins droit.

Puis à son tour, elle me mordit à la gorge et nous partagions notre sang durant toute une nuit. Épuisée par les événement je m’endormit dans ses bras et me réveilla ainsi à ses cotés changé à jamais… J’était à ce jour devenu une créature de la nuit, j’était devenu à l’instar de ma déesse de la nuit, son dieu. Durant cette nuit je redécouvrit la vie sous un autre jour, je redécouvrit les plaisirs les plus simple comme boire un simple vers d’eau, contempler les petites bestioles vaguer à leurs occupation, admirer une œuvre d’art durant des heures et bien sûr faire l’amour sans jamais être fatigué. Chaque nuit nous partagions nôtre sang l’un à l’autre et chaque nuit je devenais de plus en plus puissant.

Une nuit alors qu’elle m’apprit les rudiments de la chasse, comment me nourrire de sang d’être vivant, elle m’enseigna les lois anciennes quel s’était un jour elle-même instauré par aversion pour se qu’elle était. Elle m’apprît à sonder l’âme des êtres vivant et me montra comment je pouvais distinguer les êtres purs des êtres mauvais. Je lui fis donc serment de ne jamais me nourrire d’être pure et de simplement me rassasier de mauvais… Cela me convenais parfaitement car je ne sais comment j’aurais pus faire autrement. Moi qui aimais tant la vie, moi qui la chérissais plus que tout je me rendais enfin utile en se bas monde.

Comme je l’ais mentionné plus tôt, je redécouvris la vie à travers la mort, j’éprouvais tellement de plaisir que j’en oubliais le monde extérieur. Ma dulcinée éternelle me révéla son nom, elle s’appelait Meliann et elle était âgée de plus d’un millénaire. À se moment je l’appela ma déesse des millénaires un nom qu’elle trouva fort amusant. Lorsque je lui demanda quelles étaient nos origines, elle m’avoua qu’elle n’en savait rien mais qu’elle avait essayé de le découvrire au cours des siècles qui s’était écoulée devant elle. Ses recherches l’avait mené jusqu’à la citée drow où elle m’avait rencontré…

Tout cela me fascinait mais lorsque je lui avait demandé pour quel raison elle m’avait choisie moi, Melkian Vostros, pour devenir son compagnons éternel elle s’était mise à pleurée et je dû la consoler des heures durant. Elle se sentait en réalité honteuse de se quel avait fait parce qu’elle m’avait espionné depuis l’âge de mes cinquante ans et avait observé la destinée que j’essayait de menée, elle avait sondé mon cœur et s’était aperçu à quel point j’était un être passionnée par l’amour et avait vu en moi un être de bonté qui ne prendrait aucun plaisir à tué… Elle avait observé ma carrière politique et avait parié qu’un jour le pouvoir me corromprais mais il n’en fût rien… Puis lorsqu’elle m’avait vu sombré dans le désespoir, lorsqu’elle m’avait vue m’isoler ainsi du monde dans lequel nous vivions elle en avait été peiné et avait attendu avec patience que je retrouve l’envies de vivre…

C’en fût plus que je ne pouvais entendre, mon cœur criait de rage, mon âme aussi pure soit-il fût parcouru d’une colère intense et je me jeta brutalement sur elle… Je lui sauta à la gorge et essaya de la vidée de son sang, aussi surprit que je pouvais l’être, elle me projeta en arrière grâce à ses mystérieux pouvoir de l’esprit et je fût immobiliser au sol jusqu’à se quel m’es expliquer la raison de son acte. Je l’écouta avec attention, blessé au plus profond de mon âme d’avoir été ainsi arraché à la vie par un être qui m’avait observé depuis le tout début de ma jeunesse, je m’aperçu alors à quel point j’étais vaniteux et orgueilleux. Je m’aperçu que la seul chose qui m’avais mit en colère n’était autre que le fait que je m’étais jamais aperçu qu’elle m’espionnait.

Ma réaction était certes démesurée, mais lorsque l’ont ait transformé en créature de la nuit l’ont ressent les émotions avec tellement de vigueur et de puissance, que je m’étais laissé emporté. Après tout je n’étais qu’un novice. Ultérieurement à cette prise de conscience elle me montra comment maîtriser le pouvoir de l’esprit et je fus capable en quelques jours de pratique de faire bouger des choses avec l’esprit. Plus je buvais de son sang, plus j’absorbait son étrange fluide sacré je devenais de plus en plus puissant. Quelques mois plus tard elle me montra à allumer le feu grâce à son sang, elle me montrais comment m’en servire pour détruire mes semblables et comment je pouvais blesser gravement les simples mortels. Malheureusement je n’étais pas assez puissant pour tuer un mortel mais j’étais cependant capable de les blesser. Puis un jour je réussi enfin à maîtriser se don et à tué le premier être maléfique avec cette puissance que je dois avouer, trouvais fort utile. Plus je passait du temps à ses côté plus mon amour envers elle décuplait.

Nous, nous aimions tant que nous, nous fessions connaître par les mortels sous le nom d’amant éternel. À chaque endroit de ce monde que l’ont parcourait nous détruisions ceux de nôtre espèce qui faisait le mal et nous nous nourrissions des êtres vivant maléfique. Chez les drow par contre nous avions extrêmement de misère à choisir nos victimes car ils nous paraissait quasiment tous maléfique, ainsi nous appelions cette citée, notre garde mangé, nom que lorsque j’y repense était très bien choisie compte tenu des circonstances.

Puis un jour, alors que ma peau devenait de plus en plus dur, semblable à celle de ma compagne, elle me proposa quelque chose qui encore me marquera jusqu’à la fin des temps, elle me proposait d’anéantire tous ceux de notre espèce et de faire un culte chez les mortels pour qu’ils nous vénèrent comme si nous étions des dieux. Je ne savais que faire, j’étais déchiré entre l’amour et la folie, la colère et le désire d’être considéré comme un dieux. Pourtant mon amour pour les mortels triompha, mon amour pour la vie m’ordonnait de ne pas faire une telle chose car se serait été, trahir tous ses pauvres êtres que j’aimais tant.
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MessageSujet: Re: Melkian Vostros   Melkian Vostros EmptySam 8 Avr - 12:55

Deuxième partie : (La folie d’une reine)
Je m’opposa sévèrement à sa folie des grandeurs et lui expliqua par mille vers que l’ont ne pouvait interférer avec le destin des mortels, j’essayais tant bien que mal de la ramené à la raison mais elle me menaça de me détruire et je là savait suffisamment puissante pour le faire. Mes arguments avait beau être couronné d’une logique implacable, elle se refusait toujours de m’écouter…

« Se monde à besoins de nous » me disait-elle
« Pour l’amour que tu me porte, ne me demande pas de faire une telle chose » lui répétais-je plus d’une fois
« Sans nous, ils se détruiront tous! Ils ont besoin de notre tutelle. » Enchaînait-elle encore et encore.
« Il suffit mon amour, nous ne faisons plus partit de se monde, nous n’y avons aucun droit! » m’obstinais je encore.

Nos querelles ne faisait que croître en puissance, jusqu’à se que l’ont en vienne à se jour fatidique, à se jour dont j’ais pleuré toute les larmes de mon corps, à ce jour dont par amour pour ce monde, j’ais détruis mon seul véritable amour… Mais cela ne sait pas fait en quelques heures… Bien aux contraire… Je finis par feinté l’acceptation de ses plans et nous partîmes tout les deux anéantires ceux qui restait de notre espèce. Je fût surpris par l’impuissance de nombreux novice et je compris aussitôt que ma maîtresse n’était nul autre que la première d’entre nous. Elle était la plus puissante, la plus crainte et une coalition de buveur de sang ne tardait pas à se créer contre nous.

La guerre était ouverte, j’aurais pus me joindre à eux bien-sûr, mais je mis refusais de tout mon cœur, essayent de la convaincre à chaque jour que les dieux nous accordais. Je tuais ceux qui s’approchait de moi en les vidant de leurs sang, cet essence vital sans laquelle nous ne pouvions vivre, puis je leur tranchait la tête pour m’assurer qu’ils resteraient mort. Ma puissance décuplait de ce fait et lorsque j’affronta pour la première fois un ancien je fût surpris par ma propre force, je fus surpris que ma déesse des millénaires me laissa boire chaque jour à ses veines et je fût encore plus surprit par l’amour qu’elle me vouait… Enfin après avoir tué le dernier des anciens qui s’était dressé contre nous, je me leva de mon trône qu’elle m’avait fait construire dans la grotte où l’ont avaient élus domicile, puis faisant ma cérémonie habituel je m’abreuvait du sang de ma reine et je la vénérais comme si j’étais son serviteur.

Comment pouvais-je être aussi stupide… Je ne le savais, mais ma dévotion étais tel qu’un soir je tomba dans la même folie que ma dulcinée des ténèbres et ensemble nous partîmes le culte sacré des dieux de la nuit. Une centaine de mortelle s’était rassemblé prêt de notre palais qu’était notre caverne et nous vénérions comme si l’ont étaient des dieux. Encore une fois je le dis, leurs vénérations flattaient mon horrible égaux. Notre paradis terrestre pris cependant fin d’une abominable manière, comme je l’avais déjà mentionné, ma fiancé éternelle s’évanouissait peut à peut dans la folie et commença subitement à se rassasier de ceux qui nous vénérais avec tant d’ardeur. Elle tua en une nuit plus de cent personne qui nous était dévoué et qui se laissèrent prendre la vie sans lui résister.

Lorsque je revenais dans notre palais et que je constata le carnage quel avait fait je savais dès l’instant qu’il me fallait la détruire… Malgré tout l’amour que je lui vouais, il m’était impossible de la laisser continué ainsi, par amour je fis donc l’acte dont je suis le moins fière en ce bas monde… Au moment où elle me donna son sang comme à l’habitude, au moment où elle se donna complètement à moi sans craindre ma trahison j’essaya de la vider de son sang. Je lui déchira à l’aide de mes canines, la jugulaire et je m’abreuvais sans aucune retenue à cette fontaine sacré. Se démenant tel une déesse effarouché, elle m’envoya une vague invisible qui me fit reculer, puis à mon tour je tenta de contrer ses attaques mentale comme elle me l’avait si bien montré. Je sentis bientôt le feu couler dans mes veines et avec horreur je sentis mon visage brûlés sous sa puissance. Me donnant corps et âme j’essaya de repousser la vague de chaleur qui se propageait au travers mon sang puis réussissant enfin à la repousser, je me jeta férocement sur elle, prenant au passage mon cimeterre que je pris à deux main et lui trancha un bras.

Elle me regarda abasourdi par ce que j’avais oser faire puis elle se jeta à son tour sur moi essayent de me voler mon sang, j’essaya d’abord de la repousser à l’aide du don de l’esprit mais je fût vite pris de cours lorsque je vit qu’elle ne reculait pas, elle l’utilisa contre moi et elle me projeta au fond de la grotte… Je sentais le mur trembler sous l’impacte, puis me relevant aveuglé par la colère, j’essaya de la brûler grâce au don du feu, la voyant faiblire sous la pression, je m’efforçait d’avancer vers elle afin d’atteindre sa gorge… Par l’horreur, je constata que son bras qui étais sur le sol essayait de s’assembler au reste de son corps. Pris d’une panique indescriptible je recula et alors qu’elle me fit un sourire mauvais, je vis son bras s’assembler à son corps comme si rien ne lui était arrivé.

Mon cœur tremblais devant se monstre, je ne pouvais rien contre elle et elle semblais le savoir… Pourtant son arrogance serait sa propre perte. Elle s’affaiblissait alors que moi j’avais bus presque tout sont sang, je sentais sa soif s’accentuer et par amour pour les êtres vivant je m’élança vers elle épée levé essayent de lui trancher la tête, elle leva encore une fois sa main et je fus une fois de plus projeté sur l’horrible mûr cabossé. Je souffrais, mais rien n’était égal à se que je ressentais au fond de mon cœur… Si j’échouais, elle tenterait de d’asservire les peuples de se monde et aucune créature en se bas monde pourrais l’en empêcher. Je l’aimais tant… Je l’idolâtrais, je croyais en elle…

Ne doute pas, chère journal de ma sincérité, je l’aimais plus que tout, j’aurais donnée ma vie si s’aurait été possible pour la ramené à la raison mais rien n’y pouvais… Nous, nous battîmes ainsi durant des nuits, voir des semaines, j’étais fatigué, elle le savait, j’avais faim, elle le savait aussi… Mais je sentais que mes efforts n’étais pas fait en vain car elle aussi souffrais, elle aussi avait faim. C’est alors à mon dernier souffle que je m’avoua vaincu, je sentais le feu me prendre la vie, je sentais le feu sacré brûler mon corps et mon visage, desséché mon sang… J’étais vaincu, du moins ses se que je croyais…

À mon dernier souffle, alors que je m’attendais à subire les pires tourments dans les enfers, je vis le feu s’éteindre, je la vis, elle, s’approcher de moi et me serrer dans ses bras… Son amour n’avait pas été altéré par nos différent et elle se refusait à m’achever malgré mes supplications… J’étais à ce moment hideux, mon corps en entier était brûler et je ne pouvais qu’attendre la mort… Mais elle me donna de son sang, elle s’affaiblissait en guérissant mes plais. Avait-elle retrouvé la raison? Non… Malheureusement elle n’était que devenue plus folle encore, mais ses plans comportait un dieux et une déesse, s’est donc pour cette raison qu’elle me laissa en vie, s’est donc pour cette raison quel se nourrissait infiniment de mortel et ne cessait de me donner son sang.

J’étais si désespéré par sa folie que j’essaya par plusieurs reprise de me rendre jusqu’à l’extérieur en pleins jour espérant me détruire… Je me brûlais les bras… les jambes et la tête… Mais elle ne cessait de venir me secourir, j’étais sa faiblesse et je comptais bien l’utiliser pour la détruire. Je voyais à quel point le soleil avait un effet destructeur sur moi et je savais qu’à chaque fois qu’elle venait me secourir, elle s’affaiblissait, elle aussi. Je trouvais cette situation si démentielle que je ne pût me retenir d’être épris d’un fou rire lorsqu’elle vint me sauvé pour la énième fois. Je restais bouche bée devant tel folie et je ne savais que faire pour mettre fin à ses jours…

M’abreuvant encore une fois à ses veines sacrées, je tenta une nouvelle fois de la détruire, je la vida doucement le plus possible de son sang plus à l’instant où elle ne si attendait le moins je la poussa de toute mes forces hors de la grotte, elle y fût exposée de pleins fouet au soleil… Restant hors de porté des rayons de soleils mortels, j’usas alors de mon don du feu pour l’affaiblire. Priant tous les dieux de se monde, je me jeta enfin sur elle et à l’aide de ma lame je lui trancha violemment la gorge et bus tout ce que je pouvais y boire… Je sentais les rayons du soleil me frappé, mais j’étais prêt à me sacrifier de tout mon âme pour pouvoir enfin la détruire, elle aussi. Mon sang bouillait sous la chaleurs, mon corps exposé au soleil me faisait énormément souffrire, mais je ne me retirais pas, essayant de boire tout son fluide, je m’accrochait désespérément à ses épaules puis lorsque je fus assez puissant pour utiliser mes pouvoirs je la repoussa au loin grâce au don de l’esprit…

Sans était fini d’elle, j’utilisa le don de l’esprit pour la retenir afin qu’elle ne puisse pas revenir à l’abris du soleil, puis j’utilisa le don du feu pour la détruire complètement…Sa mort fût pour moi une sorte de soulagement, je ne savais trop pourquoi mais j’y éprouvais une amertume et une joie singulière.

Voilà qui mes fin à mon triste récit… Ne croyez pas que ce que je possède est un don, ne croyez pas que le secret que je garde est une bénédiction… Bien au contraire, je suis maintenant le seul gardien de cette malédiction, je porte le lourd fardeau qui m’a été donné… Je continue l’œuvre de ma bien aimée, je recherche l’ultime secret de la création… Car dans la mort elle là apporter avec elle…. »
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