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| L’auberge des plaines étincelante | |
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+2Aldemis Bortefal Melkian Vostros 6 participants | Auteur | Message |
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Melkian Vostros Drow/Vampire
Nombre de messages : 89 Alignement : Bien Date d'inscription : 17/03/2006
| Sujet: L’auberge des plaines étincelante Mar 28 Mar - 19:12 | |
| L’auberge des plaines étincelante est située comme son nom l’indique au beau milieu des plaines étincelantes. Réputé pour ses plats aussi exquis qu’exotique l’auberge est un endroit privilégié pour les discutions d’affaire où simplement pour le repos quatre étoile qu’il offre.
Fabriqué partiellement en bois de chêne et de marbre, l’auberge est un mélange de style elfique et de style humain. Il regorge de peinture les plus fabuleuse l’une que les autres et est un véritable centre d’art culturel.
Bien que les repas soit dispendieux, vous les déguster dans un havre de paix et où les serveuses seront vous charmés.
Liste des repas et boisson disponible :
Assiette de viande (petite) : 2 po Assiette de viande (moyenne) : 4 po Assiette de viande (grosse) : 6 po Assiette de viande (extra large) 10 po
Assiette de légumes (petite) : 2 po Assiette de légumes (moyenne) : 4 po Assiette de légumes (grosse) : 6 po Assiette de légumes (extra large) : 10 po
Assiette de légumes et de viande (petite) :4 po Assiette de légumes et de viande (moyenne) : 8 po Assiette de légumes et de viande (grosse) : 12 po Assiette de légumes et de viande (extra large) 20 po
Viande exotique et légume exotique disponible au double du prix.
Boisson : Vin elfique : 12 po Bière elfique : 6 po Vin drowique : 12 po Bière : drowique : 6 po
Herbes à pipe : 20 po Pipe (en vente ici!) 50 po
L’auberge possède aussi un service qui sera sûrement vous étincelez. Des danseuses privés sont à la disposition de tout ceux qui possède l’argent pour en profiter. Le service coûte 60 po par danseuse. | |
| | | Aldemis Bortefal Humain/Chevalier Noir
Nombre de messages : 6 Alignement : Mal Date d'inscription : 01/04/2006
| Sujet: Re: L’auberge des plaines étincelante Sam 1 Avr - 9:33 | |
| Le jeune homme se regardait dans le miroir depuis déjà un certain moment. Fière de sa personne, il ne pouvait lâcher de vue son reflet. D’une beauté comparable à celui d’un elfe ont eu put le prendre pour un demi-homme mais cela aurait été une grave erreur car il était bel et bien un homme comme tout les autres. Âgé d’une vingtaine d’années tout au plus il était d’une forme remarquable et cela se voyaient bien. Mesurant environ un mètre quatre vingt, pesant au alentour de deux cent livres il était en mesure d’intimider une bonne partit de la population humaine. Ses cheveux d’un noir intense contrastaient avec émerveillement ses jolies yeux bleu, ses traits raffiné semblable à celui d’un elfe lui donnait un avantage certain sur sa beauté. Un homme au visage d’ange…. Voilà se que pouvait voir quelqu’un qui le regardait…
Bien qu’il fût l’un des hommes les plus beau de se monde son âme, lui, était rempli d’imperfection. Née d’une riche famille il ne connaissait pas la pauvreté et de se fait n’avait aucune sympathie pour les gens qui en souffrait. La misère était chose à laquelle il s’abreuvait pour combler ses sombres plaisirs aussi sadique les uns que les autres. Détestable, il adorait détruire la vie d’autrui de différente manière. Arrogant, il provoquait tout ceux qui ne lui plaisait pas en duel et sachant très bien qu’il avait une maîtrise du combat hors du combat il en sortait le plus souvent vainqueur et achevait ses adversaires sans aucune pitié…
Comment un homme pouvait-il être aussi sadique? Comment un homme pouvait-il être aussi détestable? Cela se répondais évidemment par la plus simple réponse que nous pourrions trouver….Il était un homme; une bête sauvage vêtus de noble habits qui laissait ses instincts les plus sadiques le gouverner. Cependant, ne vous prenez pas sur son intelligence car cela serait une erreur regrettable qui pourrait vous coûter la vie. Aldemis Bortefal, car tel était son nom, était un homme minutieux qui prenait grand soins de sa personne, vaniteux, avare et malveillant était des adjectifs qui le décrivais bien, se servant de son intelligence pour tromper et faire souffrire les gens, il utilisait ensuite sa beauté angélique et son visage le plus innocent pour se sortir des mauvais pas dans lequel il se mettait.
Son vice le plus grand était bien sûre celui de tout les hommes, la chaire, non par amour il amenait différente femme chez lui leurs promettant tous respect et richesse puis lorsqu’il s’était repus d’elles il leurs brisait le cœur et les renvoyait sans aucune politesse chez elles. « Le démon au visage d’ange » était un nom que son entourage lui avait donné lorsqu’il avait atteint l’âge de ses onze ans. Un nom qui d’ailleurs ne lui déplaisait guère puisqu’il adorait se qu’il était. Lorsqu’il eu atteint l’âge de ses douze ans ses parents le renies prétextant qu’il était possédé par le démon à l’état pure. Il en était bien sûr pas très loin de la réalité car Aldemis était un enfant sans aucune pitié ni compassion envers quiconque mis à part pour lui-même.
Il vécu donc un an dans la pauvreté et dû apprendre à survivre dans les cartiers pauvre de la citée jusqu’au jour où il commis son premier meurtre, un meurtre d’une cruauté inégalé chez un enfant, il avait tué son seul compagnons pour pouvoir l’observer agoniser…. Il fût ensuite jugé par les autorités puis condamné à mort pour se qu’il avait fait. Cependant le jour de sa sentence, un homme mystérieux apporta au juge une bourse remplis d’or et acheta le condamné à la justice. L’homme donc il était question n’était nul autre qu’un chevalier noir venue d’une mystérieuse secte, voyant à quel point l’enfant était méprisant, il le prit pour en former son apprentie.
S’est ainsi que le petit Aldemis appris à maîtriser le maniement de l’épée longue et de la griffe et vécu ainsi sa vie jusqu’à l’âge de dix-sept ans… âge critique à lequel il tua son maître pour son propre plaisir puis partit à la recherche de ses parents pour leurs faire subire le même sort…
Boutonnant le dernier bouton de sa manchette, Aldemis eu un sombre sourire à l’idée de la chose qu’il s’apprêtais à faire. Une chose qui ne serait jamais pardonnable même pour le tout puissant… Ajustant correctement sa cape noir, il s’éloigna du miroir et se dirigea vers sa commode pour y prendre son épée longue qu’il avait nommé avec soins l’éternel châtiment pour le rengainer dans son fourreaux pendent à sa ceinture. Souriant, il disposait ses griffes rétractable assortit sur ses magnifique gants noir puis entrepris de descendre doucement les escaliers. Les marches de cette maison était quelques peut démodé chose à laquelle il porta une attention démentiel, puis regardant la tapisserie imprégné sur les mur il eu un soupir de dégoût et continua à descendre les escaliers en se disant qu’il brûlerait cette maison avant que la journée ne finisse.
Cet homme d’une malveillance hors du commun détestait tout se qui n’était pas en vogue, il haïssait ceux qui n’avaient pas de style et encore plus ceux qui était démodé. Enfin il atteignit le bas des escaliers et regarda ses parents assis dans la salle de séjour l’attendant pour le dîner familiale. De belle retrouvaille cela aurait pût être…Si seulement il n’aurait pas été aussi rancunier... S’approchant de son père, il lui tendit la main puis lorsque celui-ci lui confia la sienne il l’attira à lui et de sa main gauche alors il activa ses griffes et lui transperça brutalement l’estomac. Dans un sourire méprisant, Aldemis le repoussa et fondit droit sur sa mère. La pauvre femme âgée d’une quarantaine d’années essaya avec acharnement de se rendre jusqu’à la porte d’entré mais ne fût pas assez rapide. La lame de son fils lui avait traverser le corps… Contemplant avec extase se qu’il venait de faire, le jeune homme fût soudain épris d’un fou rire ironique « Mes merveilleux parent, se dit-il pour lui-même, vous m’avez bannis de cette maison et moi en retour je vous ais bannis de la vie! »
Se contemplant une dernière fois dans le miroir du salon il s’assura qu’il n’avait rien perdu de son style et entrepris de se diriger vers le foyer. À ce moment précis il pris une bûche enflammée et la déposa sur le corps de son père, il fit de même pour sa mère et lorsqu’il fût assuré que ses misérables parents brûlerais tout les deux, il renversa le foyer sur le sol et savoura la chaleur des flammes qui se répandait peu à peu dans la maison. Enfin lorsqu’il trouva la fumé dérangeante il sorti de son ancienne demeure et l’observa brûler avec joie.
Ainsi se terminait le passé d’Aldemis Bortefal, ainsi brûlais toute preuve de son existence, lorsque des gens accourir pour voir se qui advenait de la maison il leurs fit accroire qu’il avait essayer de secourir les gens qui se trouvait à l’intérieur mais qu’il n’avait malheureusement pas réussie… Contemplant son visage d’ange, les gardes crurent à sa version des faits et le laissèrent partir…
N’ayant plus rien à faire de son ancienne vie, le chevalier noir parti vers l’auberge étincelante et lorsqu’il arriva enfin sur les lieux il n’eut que de bonne pensée pour la beauté des lieux… Pénétrant dans l’auberge il remarqua les fresques peint par de grand peintre de l’époque puis ignorant la foule il alla s’assoire à l’une des tables… Regardant avec amusant les serveuses il commanda une bière et la bue en échafaudent mentalement son avenir… | |
| | | Aldemis Bortefal Humain/Chevalier Noir
Nombre de messages : 6 Alignement : Mal Date d'inscription : 01/04/2006
| Sujet: Re: L’auberge des plaines étincelante Mar 4 Avr - 6:18 | |
| Buvant à petite gorgée la bière drowique qu’il avait commandé le chevalier noir ne pouvait qu’entrevoir avec brio l’avenir qu’il espérait tant avoir. L’argent était bien évidemment l’une de ses priorités… L’argent et le pouvoir politique occupait son esprit, de plus en plus vivifier par l’effet de l’alcool, une place d’importance. Admirant les somptueuse courbe de la serveuse, il lui fit un signe gratifiant du coin de l’œil et lorsque celle-ci vint le voir pour lui demander se qu’il voulait il lui répondit d’un aire arrogant…
-Se que je veut?, demanda t’il, L’argent et le pouvoir… Bref tout se que vous ne possédez pas! Mais pour l’instant, beauté, je me contenterais que vous remplissiez mon ver!
-Bien messieurs, répondit-elle gentiment, désirez-vous autre chose?
D’un mouvement gracieux il lui fit signe de la main qu’il ne désirait rien de plus et lorsqu’il resta seul avec son unique compagnon qu’était son ver, il en bu une bonne gorgé pour s’éclaircire la gorge et s’installa plus confortablement sur la chaise qu’il avait choisi. Se servant de sa serviette de table et d’une plume qui lui traînait sous la main, il commença à dessiner le domaine qu’il rêvait de posséder un jour et y ajouta des détails que lui seul était capable de discerner. Rêvassant d’un monde où il serait seul maître il s’imagina adroitement effectuer des transactions boursier qui lui apporterais une fortune…
Ses rêves, .étaient la seule chose qu’il possédait encore, ses parents, il les avaient tuée, son frère il ne l’avait pas revu depuis des années et son maître… Il lui avait arracher les boyaux… Alors qu’il se remémora ses erreurs, une larme perla soudainement à ses yeux. Comment diantre avait il pût brûler sa maison? Oui…. Elle était démodé, il n’aimait pas les choses démodé mais tout de même il aurait pût se garder une petite gêne. Au moins aurait-il pût dévaliser cette même maison avant de la laisser à la proie des flammes… Maintenant il n’avait rien, pas même assez d’argent pour se payer les deux consommations qu’il venait de boire…
Cette pensée le fit évidemment sourire, comment s’y prendrais t’il pour s’échapper de l’auberge sans que les gardes le surprenne? Bha… Les gardes n’étaient rien pour lui, mais dans se cas il lui faudrait trouver un endroit où passer la nuit, il était inconcevable qu’un homme issu d’une famille aussi riche que la sienne s’affaisse à dormir à la belle étoile. Une idée aussi brillante que risqué lui passa par la tête, peut-être était se l’effet de l’alcool qui commençait à lui monter à l’esprit mais il n’en restait pas moins qu’il là trouva pour l’instant la plus ingénieuse qui soit.
Le plan qu’il s’était machinalement échafauder mentalement aurait pour but de régler ses problèmes d’argent et d’acquérir rapidement une réputation auprès des membres les plus important du conseil des nations… Cela était une chose qu’il envisageait avec plaisir, en effet ses yeux s’illumina devant l’ingéniosité de se plan et rien ne saurait l’en empêcher… Se levant spontanément, il se dirigea vers le premier garde qui surveillait la porte et alors qu’il ne s’y attendait pas il lui transperça la gorge à l’aide de ses griffes.
Aussitôt mort, les deux autres gardes de l’auberge se précipita vers lui, d’un sourire il dégaina son épée longue et les observa un long moment. Les gardes ne savait que faire, attendre l’ennemi où foncer droit vers lui? La réponse fût soudain révélé par la lame d’Aldemis, effectuant une petite courbette, il plongea sa lame dans le genoux gauche du premier garde et frappa de plein fouet le visage du deuxième garde à l’aide de ses griffes. Rien de tel qu’une petite session d’exercice pour se mettre en forme pensa t’il avec plaisir.
Voyant sa fin arrivé, le premier garde recula de quelques pas et leva son épée pour frappé le chevalier noir, l’arme de son ennemis toujours dressé dans son genoux il ne vit que trop tard la main de son ennemis lui retiré d’un coup aussi violemment que sec. Épris d’une douleur insoutenable le garde s’agenouilla sur le sol demandant grâce au jeune homme. Alors que le deuxième garde, griffé au vissage, essaya de dégager le sang qui lui bloquait les yeux, Aldemis eu un petit recule de prudence et lui ouvrit la gorge encore une fois à l’aide de ses magnifiques griffes. La lame de son épée sous la gorge du garde qui lui demanda grâce, le chevalier noir ne pût que lui faire un de ses plus beau sourire.
-Monseigneur…je vous en pris ne me tuer pas! Supplia désespérément le garde…
-Vous demandez grâce à un être qui ne possède aucune bonté? Courageux dans vôtre lâcheté? Où simplement ignare? Je ne garde aucun être inutile en vie… répondis le chevalier noir avec un sourire sadique
-Attendez… Je vous en pris, j’ais une femme et des enfants, s’exténua à crier le garde.
-En quoi cela vous rend t’il utile à mes yeux? Demanda avec exaucement l’homme au visage d’ange.
-Je payerais ma dette envers vous! S’écria soudainement le garde, Je vous servirais si vous préservez ma vie!
-Je suis quelqu’un d’extrêmement cruel, enchéris le chevalier noir, je suis quelqu’un d’autant plus exigent et malgré tout mes défauts je suis quelqu’un de loyal… J’en espère de même pour vous… Êtes vous capable d’assumer cela?
-Oui! Tous ce que vous voudrez! Répondit le garde
-Alors tuer la serveuse! Prenez sa vie et vous sauverez la vôtre! Dit le chevalier noir avec amusement.
Voyant qu’il n’avait pas le choix, le garde fit un rapide bandage autour de sa blessure puis se leva d’un geste lourd. Prennent l’arme qu’il avait laisser tombé sur le sol, le garde se dirigea vers la serveuse et la seule chose à laquelle il pensa fût sa femme et ses enfants… Ils avaient besoin de lui n’arrêtais t’il de se justifier, ils ne pourraient vivre sans lui, mourir reviendrait à les condamnés… Et après tout il pourrait se débarrasser du même coup de sa maîtresse sauvant ainsi son mariage. Plus décidé que jamais le garde plongea sa lame dans la gorge de la serveuse malgré les cries et les protestations et lui trancha la tête afin d’achever ses souffrances.
Observant la scène avec amusant, Aldemis fût quelque peut déçu par la mort rapide de la serveuse mais gratifié par l’obéissance de son nouveau serviteur. Heureux de cela il lui fit signe de le rejoindre et tout deux se dirigeait maintenant vers l’aubergiste qui possédait l’établissement. Le gros homme chauve avait observer la scène avec horreur et pétrifier par un tel maléfice qu’il en était figé de peur. Voyant à quel point un homme pouvait en pousser un autre à commettre quelque horrible chose, l’homme chauve resta figé à attendre la mort qui semblaient ne plus être très éloigné de lui.
-Tenez-vous à la vie aubergiste? Demanda arrogamment le chevalier noir.
-O…Oui, répondit avec effrois l’aubergiste.
-Que seriez vous prêts à faire pour avoir le privilège de restez en vie? Donnez la mort? Questionna avec amusement le jeune chevalier noir.
-Tout se que vous voudriez, enchaîna rapidement le vieil homme.
-Vraiment? Demanda avec insistance le jeune homme
-Oui… fini par répondre l’aubergiste.
-Dans se cas donnez-moi les papiers de propriété de cette auberge! Je m’en contenterais, dit-il sur un ton ressemblant à de la clémence.
Le vieil homme chauve resta un instant indécis face au jeune homme, puis voyant qu’il était sérieux, il plongea la main dans le tiroir qui était à sa porter et en ressorti rapidement une pile de papier entremêler.
-Vous devriez prendre soins de vos affaires!commenta le chevalier noir, ont ne sais jamais lorsqu’un homme aussi maniaque de la propreté que moi peut débarquer chez vous et vous tuez pour la simple raison qu’il vous trouve en désordre.
-Pardonnez-moi…Tenez, prenez ses papiers, se sont se que vous m’avez demandez! Répondit brusquement l’aubergiste.
-Bien… Oui tout semble en ordre, consulta le jeune homme, maintenant engagez une nouvelle serveuse et nettoyer tous qui est salle! Je vais me reposer dans ma novelle auberge!
Après avoir effectué un somme d’une longueur imprécise, Aldemis Bortefal redescendit les escaliers de l’auberge et contempla le ménage que l’aubergiste avait fait, il ne se gêna pas non plus pour contempler la beauté de la nouvelle serveuse et se dit à lui même qu’il devrait un jour l’amené dans sa chambre…
-Aubergiste! Engagez plusieurs serveuse et serviteur! Cria d’un ton autoritaire le nouveau seigneur des lieux, je désire organisé un grand banquet où tout les invitées de marques seront accueillis! Ha oui… Pour bien paraître lancer des invitations à tout les dirigeants des royaumes avoisinant, j’ouvrirais aussi la porte au voyageur qui désire participer au festivité… Je veux du vin! De la nourriture de luxe et tout le nésséssaire à profusion! D’ici trois jours!
-Maître, interrogea l’aubergiste, en quel égard devrais-je lancer l’invitation?
-En mon nom, déclara le jeune maître subitement, Au nom d’Aldemis Bortefal, nouveaux propriétaire de l’auberge étincelante! Que tout le monde soit invité! Nous allons célébré!
Après cette déclaration qu’il trouvait fort justifié, le jeune chevalier noir alla au côté de son nouveau garde puis le regardant il lui fit signe d’aider l’aubergiste dans les préparatifs… Ensuite il s’installa au comptoir et entrepris de goûter le vin… Histoire de décider lequel il allait servire à ses invitées… | |
| | | Briardom Bortefal Humain/Chevalier Noir
Nombre de messages : 28 Alignement : Mal Date d'inscription : 03/04/2006
| Sujet: Re: L’auberge des plaines étincelante Mer 5 Avr - 19:36 | |
| Amer, il regardait la demeure de ses parents brûler. Il observait la scène depuis le commencement. Son frère, Aldemis, avait été invité par ses parents pour une réconciliation. Bien sur, cette rencontre n’avait rien d’aimable, non, en fait s’était un acte de pur égoïsme. La vérité était que l’économie familiale allait de pire en pire. L’entreprise familiale ne fonctionnait plus depuis plus de trois mois, les ouvriers de la forge s’étaient révoltés contre leur condition de vie et la production s’était éteinte. Tous les acheteurs n’eurent pas à se faire prier pour prendre la poudre d’escampette rendant la ruine officielle. Ils réussirent à vivre dans la médiocrité pendant un moment, mais une famille qui a connu l’oisiveté ne veux jamais la quitté, peu importe le prix. Ce fut Briardom qui les avait renseigner sur la *fortune* d’Aldemis, imbéciles jusqu’au bout, ils l’avaient invité souhaitant qu’il partagerait sa fortune.
Comme son frère, il s’était fait une mauvaise réputation. Plus grand et plus masculin que ce dernier, il restait un très bel homme. Nombreux furent les dames a se fendrent le cœur sur sa dague et a mourir dans sa couche. Jamais de sa vie il n’avait connu l’amour…les femmes était tous des idiotes a ses yeux, de belles idiotes…
Il vit son frère quitté la demeure, l’envie de le rattraper pour l’étriper lui vint, mais il s’efforça de se calmé.
-Quel imbécile!jura-il, cette maison était la mienne! Ingrat…mes affaires sont entrain de brûlé…et toi tu sifflote comme un enfant! Tu n’a pas changé…mais ses mieux ainsi…petit frère…dit-il comme s’il pouvait l’entendre.
Une fois son frère a l’horizon, il se rapprocha du manoir Bortefal
-Haaa…maison perfide, tu pais aujourd’hui pour les démons qui sont née ici…dit-il…Toi notre mère, notre toit, prestige silencieux du famille de fou! Alors Père! Êtes vous déçu de votre descendance ? Espériez vous des notaires? Et vous chère Mère? Avez-vous eux suffisant de bijoux pour vous protéger des flammes?
-Espèce de petit fou! Va tu cesser! Lui hurla sa mère
-Oh la ferme, espèce de vieille…Il éclata de rire, s’apercevant qu’il parlait seul, il s’appuya le visage contre la main, incapable de retenir son fou rire. Il riait de joie, heureux de savoir ses parents morts, il l’aurait bien fait lui-même…mais se n’aurait pas été aussi propre. Il attendit quelques heures devant le brasier, assez fou pour espérer voir son père ramper. Ce ne fut bien sur pas le cas. Il se mit à chercher dans les décombres, poussant les vestiges du pied. Il ne trouva qu’une seule chose de valeur. L’emblème familial, un naginata d’ébène, vieux de trois siècle selon son père ( Ce qui ne prouvait rien du tout), il n’avait aucune affinité avec l’arme…Soudain, un souvenir revint, lentement, la maison se reconstruit, une odeur de bois brûlé lui envahit les narines, il se revit 8 ans auparavant , a l’age de ses 14 ans.
Il était devant le foyer, se délectant du feu et de la tranquillité bourgeoise de sa vie. Son frère était a l’extérieur, jouant probablement a tué les chiens *hideux* ( Comme il disait toujours, grimaçant) qui traînait dans le quartier. Il appréciait son frère, il était peut-être fou a lier comme le disait si souvent leurs parents, mais il était son frère et sa confiance en lui était absolu, jamais il n’aurait pu le renier. Il sortit de sa somnolence réveillé par son ventre qui hurlait.
Innocent, il se leva donc pour allé a la cuisine mais s’arrêta lorsqu’il entendit la voix de son père retentir de la chambre parental. Curieux et loin de se douter des propos qu’il allait entendre, il espionna ses parents du coin de la porte.
-Avoir su que les coût aurait été aussi élevé, je me serais passé de ses 18 mois de souffrance! Siffla sa mère
-Je sais Melinia…mais nous avons besoin d’une descendance…nous pourrions nous débarrassé de l’un d’eux, proposa son père, nous pouvons nous payé du luxe avec un seul enfant après tout!
-Excellente idée, nous…elle s’arrêta, apercevant Briardom du coin de l’œil, Dégage petit fou! Ses pas tes affaires! Elle se précipita vers lui et claqua la porte le plus fort possible, un instant il crut que la porte allait lui tombé dessus. Il monta à sa chambre, bien qu’il était au début de l’age de la raison, il comprenait se que ses parents avait dit. L’un d’eux devait partir et se serais lui, il était l’aînée et pourrait plus aisément survivre à l’extérieur. Insouciance, inquiétude et une certaine dose curiosité se mélangeais tandis qu’il préparait ses affaires. Une fois prêt, il descendit au hall d’entré et attendit son frère pour lui dire aurevoir.
Ses parents le rejoignirent peu après, le regardèrent confus puis barrèrent la porte ainsi que toute les fenêtres. Lorsque son frère revenu, il ne pus entré et ses parents firent comme s’il n’existait pas et lui ordonna de ne pas lui ouvrirent s’il tenait a sa vie. Aldemis et lui restèrent a une fenêtre se regarder, triste de voir leur fraternité détruit pour un prétexte aussi léger. Lorsqu’il fut trop loin pour qu’il puisse le voir, son père vint le chercher lui disant qu’il était l’heure de dormir. A cette instant précis, un déclic mental se fit, il devint furieux, furieux comme jamais. Il frappa son père a l’entre jambe, il se plia de douleur puis il le frappa de nouveau, au visage cette fois puis pris ses jambes a sont cou. Inutile d’espérer gagné contre son père…pour l’instant. Les années qui suivirent, Briardom devint un peu comme son frère, il devint violent, aggresif et impulsif. A certain moment, sa folie dépassait celle de son frère. Il s’était souvent renseigné sur la vie de son frère par l’intervalle d’espion et des rumeurs.
Cinq ans plus tard, il partit, souhaitant apprendre le maniement des armes. Il trouva un maître, un chevalier noir ( Loin de se douter que son frère avait fait la même chose) et devint lui aussi un guerrier noir. Habile, il se servait de sa folie comme une arme et n’avait pas peur de tué ni d’être tué .Ainsi avait été sa vie, folie et colère.
Il sortit de sa nostalgie, il n’y sortit pas seul, un puissant sentiment de colère l’avait envahit, un sentiment assez puissant pour vous faire tuer votre meilleur ami. Heureusement, il n’y avait personne dans les environs. Il continua sa randonné à travers les débris, mettant plus d’énergie dans ses fouilles. Mis a part quelques bijoux recouvert de cendre, d’une vieil épée et d’un gant de fer, il ne trouva rien de bien intéressant.
Il dormit à la belle étoile a une centaine de mètre de la maison, tout près de l’arbre qui lui avait servit de terrain de jeux il y a très longtemps. Il resta dans les environs pendant quelques jours, continuant de chercher le moindre objet de valeurs.
Ce fut au troisième jour qu’un jeune homme vint se présenter au ruine du Manoir, l’air hébété par se qu’il vit. Il resta la un moment, trop stupide pour comprendre se qui gîtais devant lui. Ce fut Briardom qui vint l’interrogé sur le but de venue.
-Et bien…hum…le Monsieur Bortefal, grand propriétaire de l’auberge étincelante a demandé que sa famille soit invitée au grand buffet, mais…voila…il n’y a rien ici…et je n’ai aucune autre indice pour les retrouvé…si je le ne l’ai trouve pas, je vais me faire tuer! Bégaya-il pitoyable
-Vous êtes au bon endroit! Je suis se qui reste de sa famille…nos parents son quelque part sous vos pieds…ricana-il, il tendit la main, l’homme recula d’un pas incertain…l’invitation imbécile!
Il lui remit et parti rapidement, tant qu’a elle, la lettre n’avait rien de spécial, une simple invitation en soit. Il eut un sourire, a l’idée de pouvoir parlé a son frère face a face, parler de la vie qu’il n’ont jamais eu, cette simple idée le rendait fou...de joie. Il prit l’arme familial puis partit a cette auberge.
Après trois jours de voyage, il arriva à l’auberge, le cœur battant, les tempes qui tapaient plus fort que jamais. Il entra, l’auberge était grande peut-être deux fois plus que la moyenne, une forte odeur de vin et viande dansait sous son nez, des tableaux célèbres ornait les murs, certain des répliques, d’autre authentique. Son frère était la, assis au bout d’une longue table discutant avec l’aubergiste, il s’avança vers lui. Le bruit de ses pas lui virent tournée la tête. Ne sachant quoi dire, il se contenta de sourir.
Dernière édition par le Jeu 6 Avr - 17:15, édité 2 fois | |
| | | Caliste Drow/guerrière(matrone)
Nombre de messages : 44 Alignement : Pour la fin de l'isolement des drows!! Date d'inscription : 13/03/2006
| Sujet: Re: L’auberge des plaines étincelante Jeu 6 Avr - 20:19 | |
| Au bout de plusieurs jours de marche, Caliste tomba sur une auberge à l'allure modeste, mais confortable. Il y avait déjà fort longtemps qu'elle n'avait pas dormi dans un lit moelleux. En entrant, elle vit quelques regards se tourner vers sa peau sombre et ses yeux d'argent. Depuis des siècles, les drows ont la mauvaise réputation d'être des êtres sanglants et sans sentiments, mais ce ne sont que des mythes. Caliste était belle pour une drow. Elle ressemblait plus à un elfe qu'à une drow, mais sa peau sombre et ses yeux d'acier la trompaient. Elle ne portait qu'une légère robe noire et rouge lacée d'argent et une cape noire aux bordures d'argent protégeait ses épaules mi-nues.
Après quelques minutes à observer les lieux, son regard fut attiré par un humain aux traits jeunes et fins des elfes. Elle crut d'abord qu'il était un bâtard, mais ses oreilles rondes lui indiquèrent qu'il était belle et bien humain. Il était beau, mais elle le sentit aussi souillé que les autres hommes; il était avare d'argent et de pouvoir et avide de plaisir charnel. Tous les humains étaient pareils et aucun ne faisait exeption.
Elle alla s'installer au bar et attendit que la barmaid vienne s'occuper d'elle. Celle-ci semblait dans les nuges lorsqu'elle prit la commande:
- Heum ... oui ... Que prendrez-vous? Elle sortit alors de ses pensées en voyant la drow. Vous ... une drow ... ici!
Insultée, la Matrone eut une étincelle de haine en voyant que la plupart des clients se tournèrent vers la femme.
- Servez-moi une bière drowique et fichez-moi la paix! Et vous, hurla-t-elle à l'intention des clients, il n'y a rien à voir! Regardez ailleurs!
La jeune drow ravala quelques jurons et se prépara quelques incantations au cas où tout tournerait mal. Elle avait aussi sa double-lame en argent incrustée de pierres rouges en bandouillère, dans son dos. "Personne, PERSONNE, ne peut se permettre de provoquer la Matrone de Qwyk' wyrken." murmura-t-elle pour elle même. C'était tout juste si une flamme ne biraillait pas dans les yeux de la drow, qui sirottait sa bière. | |
| | | Melkian Vostros Drow/Vampire
Nombre de messages : 89 Alignement : Bien Date d'inscription : 17/03/2006
| Sujet: Re: L’auberge des plaines étincelante Ven 7 Avr - 18:44 | |
| Le vampire observait depuis un long moment le visage du drow qui se trouvait en face de lui, sirotant le verre de vin de se dernier il ne semblais en aucun point en être dérangé. Finissant finalement son verre, il le déposa sur la table et continua à fixer le drow avec le même regard frigide. Un soupire du vampire brisa enfin le silence. Il regardait le drow comme si il aurait été la créature la plus maléfique de ses lieux, chose qui n’était pas tout à fait faux.
Melkian se leva soudainement d’un geste brusque, regardant une fois de plus le drow, il lui fit signe de le suivre, ne s’abaissant pas au ressentiment de la peur, le drow se leva à son tour et suivi le vampire à l’extérieur de l’auberge. Les deux créatures drowique restèrent ainsi face à face à l’extérieur de l’auberge s’observant l’un et l’autre. Une foule de curieux ne tarda pas à s’assembler autour d’eux, en ce début de nuit fraîche, quelques gardes de la citée aussi curieux que la foule approcha et s’assembla au devant de la foule pour les protéger du danger.
Le vampire considéra un instant la foule du regard puis il posa son sombre regard sur les gardes, ils ne le considérait pas comme une menace et cela lui réchauffa le cœur. Loin de lui l’intention d’apeuré ces pauvres innocent, il voulait au contraire se faire aimé des mortelles. Le drow tant qu’à lui ne semblait nullement être dérangé par les regards du rassemblement d’humain qui s’était fait à l’entour des deux sombres créatures. Se fût enfin le drow surnommée Tarus qui prit la parole.
-Que me voulez vous, demanda t’il au vampire se tenant devant lui.
-Vôtre rédemption, créature au cœur sombre, lui répondit sèchement le vampire.
-Très bien, ricana le drow, si c’est cela que vous voulez…
Se regardant droit dans les yeux, les deux créatures à la teinte de peau foncée foncèrent droit l’un sur l’autre. Le drow empoignant son épée longue, plongea brusquement entre les jambes du vampire et se retrouva rapidement en arrière de lui. Le vampire tant qu’à lui resta surpris par la vivacité de son adversaire, il aurait tant aimé le connaître d’avantage mais cela lui était impossible, le drow était une créature maléfique qui tuerait d’après lui un innocent avant la fin de la nuit et si cela se produirait comme il l’imaginait il ne pourrais jamais se le pardonner.
Levant à son tour son cimeterre à deux main, le vampire tourna sur lui-même et frappa un premier coup sur l’arme de son adversaire pour tenté de le déstabiliser mais le drow fût encore une fois plus rapide que lui et repris sa position aussitôt. Peut-être aurait-il dû utiliser le don du feu pour en finir rapidement avec son adversaire mais cela n’aurait pas été loyal… Enfin même si il était plus que certain que si le drow aurait été dans sa position il l’aurait achever sans aucun respect lui de voulait pas s’abaisser à se niveaux.
Le vampire fit un léger bond vers l’arrière évitant ainsi l’offensive de son ennemi qui s’acharnait à lui faucher les jambes, échappant de près au cimeterre du vampire, le drow recula à son tour. Le combat semblait ne pas avancer, les deux guerrier d’une certaine expérience se regardait droit dans les yeux se demandant qui attaquerait le premier. Melkian observa toujours le drow de se même regard placide qui en avait terrifié plus d’un, cependant ce drow ne connaissait pas la peur et peut-être la connaîtrait-il même jamais…
La foule tant qu’à elle avait déjà commencer à s’exalter et à parier sur l’un des deux adversaires, alors que les gardes s’improvisai juge et arbitre il criait eux aussi au deux adversaire de continuer le combat. Melkian aperçu tant qu’à lui l’ombre d’un sourire sur les lèvres de son adversaire, se dernier semblait être dans une confiance absolu et cela lui était très désagréable. Mais comment pouvait-il savoir qu’il était un vampire, comment aurait-il pu même sans douter? Restant sans réponse, Melkian fût le premier à avancer, arme en main il utilisa sa force surnaturel pour mettre un terme à ce combat, d’un puissant coup d’épée sur la lame de son ennemis, il lui fit perdre l’équilibre puis d’un coup de pied tout aussi puissant il le frappa dans le torse et le fit tomber sur le sol.
-Vous êtes très fort, complimenta le vampire, mais vous n’êtes pas de taille…
-Simple coup de chance, renfrogna le drow, laisser moi me relever et je vous achèverez!
Un sourire au lèvre le vampire laissa la chance au drow de se relever, lorsque le drow le chargea épée levé, Melkian leva la main vers lui et se servit du don de l’esprit pour le projeter sur le sol. Hébété le drow se releva de plus belle et fonça une deuxième fois vers son ennemi. Cette fois le vampire attendit son ennemi et au moment où le drow leva le bras pour lui trancher la tête, le vampire l’agrippa fermement par le bras et lui broya les os jusqu’à se qu’il se décide enfin à lâcher son arme.
-Vous… Vous n’êtes pas des nôtres, s’exclama le drow, qu’êtes vous?
-Je suis celui qui à juger ton âme, lui cracha le vampire en lui dévoilant ses crocs, je suis celui qui te laisse une deuxième chance!
-Pour qui vous prenez vous, lui demanda le drow étonné, dieu?
-Blasphème, s’écria le vampire, je ne me prend que pour celui qui possède ta vie entre ses mains!
Ricanant le drow tenta de frapper le vampire d’un crochet au visage, Melkian l’encaissa sans aucune difficulté puis le prenant à la gorge il le souleva et le regarda une dernière fois dans les yeux.
-Les drow, commença avec amertume le vampire, ne changerons jamais, vaniteux, prétentieux et maléfique… Que la mort t’apporte la paix de l’âme…
Puis l’attirant brusquement vers lui dans une puissante étreinte, il plongea ses crocs dans la gorge du drow et bus son sang devant les yeux de la foule qui s’affola devant une telle démonstration d’abomination….
Enfin rassasié, le vampire ne savait plus que faire, les gardes s’assemblait devant lui essayant de ne pas succomber à la panique et lui pointait leurs armes en signe de menace. Melkian fit un bond vers l’avant et se mit à courir vers les portes de la citée, évitant et apeurant les gardes, il réussit à sortir de la citée et se retrouva quelques heures plus tard à quelques hectare de Goral.
Courant toujours dans la plaine un petit bout de papier jeté sur le sol attira soudainement son attention où il était écris qu’un banquet était organisé à l’auberge étincelante et que tout le monde y était invité. Ne sachant que faire d’autre, le vampire se mit en route vers l’auberge et arriva enfin à l’endroit qu’il désirait se rendre. Ne prenant pas le temps de regarder les lieux, il avança vers la porte et décida enfin de l’ouvrir.
Marchant d’un pas tout aussi lent que décidé, il prenait le temps d’observer chacun des êtres qui se trouvait dans l’auberge et une personne en particulier attira son attention, il l’aurait confondu à celle d’un archange d’un de ses peintres préférés si se n’aurait été que de la malveillance qui l’entourais. Puis à ces côté se trouva un homme un peut plus âgés possédant les mêmes trait que le dernier mais avec une masculinité qui ne le laissa pas de glace.
Après s’être épris des deux hommes qui se trouva à ces devants, il se retourna et aperçu la drow qu’il avait dans sa vie de mortelle servi… Il s’approcha d’elle d’un pas confiant, espérant bien sûr qu’elle le reconnaisse puis il décida enfin de lui adresser la parole.
-Très chère matrone, s’exclama t’il, cela fait si longtemps…. Me permettrez vous ma reine de m’assoire à vos côté?
Bombant le torse il resta devant elle attendant une réponse qu’il espérait positive… | |
| | | Caliste Drow/guerrière(matrone)
Nombre de messages : 44 Alignement : Pour la fin de l'isolement des drows!! Date d'inscription : 13/03/2006
| Sujet: Re: L’auberge des plaines étincelante Ven 7 Avr - 19:26 | |
| Après avoir fini son verre, la Matrone se prépara à partir lorsqu'un autre drow vint s'assoir près d'elle. Ses traits, bien que plus tirés, lui rappelait le fils assassin de Elikian. C'était bien lui! Elle l'avait déjà entrevu lorsqu'elle était jeune enfant et on avait tant parlé de l'assassina de son père qu'elle ne pouvait l'ignorer. Il avait été beau, mais aujourd'hui, c'était autre chose. Il devait la confondre avec sa mère, Keisha, car Caliste règnait depuis seulement dix ans déjà. Elle le regarda, mi-amusée, mi-insultée et dit sur un ton amer:
- Je ne suis pas Keisha; il y a cent ans qu'elle a été enlevée et tuée par les bâtards qui nous servent de voisins et j'espère que vous ne tenterez pas de me tuer de sang froid comme vous l'avez fait avec votre père, Elikian.
Elle prit une pause et réalisa qu'elle venait peut-être de toucher un point sensible dans les souvenirs du mâle.
- Ne le prenez pas mal, mais comment pensez-vous qu'une jeune enfant de 15 ans - apprennant que un des grands sénateurs de Qwyk' wyrken a été assassiné par son propre fils - réagit? Et surtout quand celui-ci était un des rares models de paix qu'elle avait sous les yeux.
Après avoir commendé une autre bière drowique, la Matrone la cala et dit sur un ton trop calme:
- Ce n'est que quelques jours après l'assassinat de votre père et votre disparition que la cité fut mystérieusement prise d'assault par les bâtards et que ma pauvre mère fut enlevée.
Elle ne voulait pas s'attarder à ces souvenirs noirs, mais l'alcool faisait tranquillement son effet, bien qu'elle avait encore les idées claires. Elle ne voulait pas non plus attirer les foudres du mâle, car une force étrange semblait l'entourer. Elle eut beau tenter de questionner les dieux mentalement comme on lui avait enseigné, mais aucune réponse ne venait. Ça l'obssédait en même temps qu'elle ne voulait pas savoir.
Inconsiamment, elle remonta sa cape pour qu'elle couvre son cou, sans même savoir pourquoi et elle se mit à fixer son verre d'un air distrait. | |
| | | Myrtael Elith Humain/Chevalier blanc
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 07/04/2006
| Sujet: Re: L’auberge des plaines étincelante Ven 7 Avr - 19:28 | |
| Au loin on pouvait entendre un loup chanter. La lune était clair et elle éclairait toute la plaine. Il y avait une petite brise fraiche annonçant le début de l'été. Tout était calme sur la route principale. Une route faite de gravier et de sable. Oublier par le temps. La plupart des personnes contournait par les bois ou ne fesait tout simplement que marché ailleur. Trop de circulation dessus. Pourtant se soir, la route est presque vide. Quelques marchand circule avec leur caravan chargé, des guerriers perdus ou saoul cherche un endroit ou dormir, et d'autres n'étaient que de passage. C'était le cas de Myrtael. Il marchait seul sur la route, épée bien rangé, enrobé d'une cape brune. Il marchait seul dans le noir, cherchant quelque'chose à faire.
Myrtael Elith était autrefois un enfant normal et civilisé, bon à l'école et aimant manier l'arme. Il s'entraina pendant des années et devint un guerrier hors pair. Bien sûr, il n'était pas le meilleur mais il pouvait se débrouiller. D'une grandeur raisonnable, mince mais costaud, il parcourait la terre pour aider les mal pris. C'était un chevalier blanc, née à Goral, il avait appris l'art des paladin et était fier de porté l'insigne. Il combat le mal pour restorer le bien. Agissant la plupart du temps seul, Myrtael n'aime pas trop la compagnie. Il aime les moments paisibles sur le bord d'un lac, à regarder les étoiles et contés les reflets. Il aime les simples choses de la vie voilà tout. Mais il aimait beaucoup se battre au sa oui il aimait. Il esperait devenir un gardien blanc un jour mais c'était loin d'être atteint. Pour l'instant il se contentait de ses battre à l'épée et d'utiliser de temps en temps l'unique magie qu'il connait, bouclier céleste.
Myrtael marchait paisiblement dans la routes et apperçu au loin une pancarte avec des mots fraichement gravés. Il s'approcha et lut le message. On y disait qu'un banquet avait été organisé et que tout le monde était invité dans l'auberge étincelante. '' Quoi de mieux qu'une auberge pour feter. Ensuite si on est fatigué on a même pas besoin de se déplacer pour se coucher'' se dit-il. Il décida donc d'y aller.
Après une dizaines de minutes de marches, il entendit un grognement grave en arrière. Myrtael ne prit pas de chance, dégaina son arme et se tourna vers la créature. Un loup-garou. '' Je ne veut pas te tuer créature que tu es, retourne dans la forêt et ne revient plus.'' Le loup-garou ne sembla pas vouloir laisser le chevalier tranquille. Il chargea sur Myrtael avec ses griffes. L'homme se baissa et laissa la créature sauter par-dessus lui. Il se retourna et vit le monstre se retourner ébèté. Il sauta à nouveau mais cette fois, Myrtael, au lieu de se poussé, brandit son épée et l'enfonça dans la chair du loup-garou. Il tomba et recula tranquilement en boitant.'' Va t'en maintenant!'' Le loup lui jeta un regard sombre et disparu.
Myrtael continua sa route. Après une heure ou deux de marches, il apperçu enfin une batisse. Elle était belle et bien éclairer. En arrivant devant il vit quelques gardes postés sur le bord de la porte. Il s'arreta et observa. L'un des gardes examina le chevalier. Des bottes d'argent et d'or, une plate complète faite en argent avec quelques morçeau d'or attaché après. Des gants de la même forme et couleur et un casque d'argent seulement. Son épée était longue et elle contenait plusieurs gravures. Myrtael le fixa, le salua et entra dans l'auberge. Il y avait beaucoup de bruit et l'auberge était remplie et accueillante. Il se dirigea vers le fond. Il vit en passa deux êtres, l'un debout et l'autre assis en face, d'une couleur foncé. Des drows probablement. Il ne s'y attarda pas et alla s'assir dans le fond. Une jolie serveuse s'approcha du chevalier blanc.
- Bonsoir voyageur! Je vous sert quelque'chose? -
Myrtael enleva son casque, placa son épée sur le coté et se retourna pour répondre à la serveuse.
- Oui s'il vous plait, je voudrais une petite assiette de viande et une bière elfique s'il vous plait. -
La serveuse repartit et revint quelques minutes plus tard avec la bière et repartit chercher la viande. Myrtael pris sa bière et examina l'auberge en laissant poussé un soupir. Il avait hate au banquet! | |
| | | Angie Elfe/Guerrière
Nombre de messages : 96 Alignement : Neutre Date d'inscription : 27/03/2006
| Sujet: Re: L’auberge des plaines étincelante Ven 7 Avr - 21:44 | |
| Tout en marchant Angie observait la magnifique ville qu’est Feltïkia. La joie de vivre régnait sur chaque centimètre carré de cette ville. Tout le monde est courtois envers les autres et toujours souriant. Bien sur, il y avait de petit trouble fête mais bon, sans eux, la ville serais bien trop tranquille!
Après une bonne heure de marche, Angie arriva au marché, une grande place publique ou plusieurs marchands, fruitiers, poissonniers se retrouvaient. Ses parents travaillent sur cette place publique. Habituellement, leur stand est le plus à droite, la jeune elfe fait donc on détour par la gauche. Angie étais étonner de voir la foule de monde qui se trouvaient ici. C’est en zigzaguant un bon 15 minutes qu’elle parvint enfin de l’autre côté. Elle fît les derniers kilomètres à la course, Angie arriva enfin devant la fameuse demeure. Une petite maison blanche, simple mais au combien confortable! L’elfe ouvrit la porte de la clôture, parcouru le petit chemin de roches et monta les trois marches qui la séparaient de la porte et entra.
À sa grande surprise, sa mère et son père étaient assit là, autour de la table à l’attendre! Angie figea, littéralement sur place, la porte encore ouverte. Sa mère, Elfina, fondît sur sa fille.
-On c’est tellement inquiété ma chérie! Mais où étais-tu?
Ils se sont inquiété, ils ne s’engueulaient pas? La fin du monde va arriver, c’est la seule raison plausible qu’Angie trouvais pour expliquer leurs comportements immédiats, la fin du monde!
-Hee.. Je.. J’étais au manoir de Kalath-Nym Dargault. Je.. J’étais resté tard à l’auberge pour finir mes devoirs. Je ne voulais pas vous réveiller en plein milieu de la nuit et hee.. Il m’a proposé de rester au manoir dans une chambre individuel parce que c’est plus proche de l’école. Je ne voulais pas vous inquiéter désoler!
Sa mère l’a lâché, aucune émotion n’apparaissait sur son visage. Son père, toujours assit à boire sa bière pris la parole.
-J’te l’avais dit, tu t’inquiétais pour rien! Est grande la s’plus une p’tite fille est capable de ce débrouiller! Pis c’est ben correct si a va vivre là bas, une bouche de moins à nourrir, y va juste rester sa sœur! Pis à te la dit elle-même, c’est plus proche de son école! Panique pas la!
La surprise sur son visage disparue totalement, s’étais bien son père qui avait parlé! S’inquiéter pour elle, trop beau pour être vrai! Mère protectrice, père incompétent, voilà ses parents. Angie s’était toujours demander comment ils avaient fait pour se rencontré, se marié et avoir deux enfants. Il y a sa sœur aussi, Avariel, la pureté pure et simple. Les deux sœurs se ressemblent malgré la différence d’age. Angie regardait la scène dégénérée, sa mère voulait qu’elle reste, son père qu’elle parte, deux êtres complètement différents sont ses parents. Elle voit sa sœur sur le seuil de la porte, Angie intervient.
-Maman! Papa! Suffie je ne veux pas déclencher de guerre! Maman, je vais aller vivre la bas, c’est beaucoup plus proche de l’école..
-Mais chérie…!
-… pas de mais surtout! Ca va aller mieux ainsi. Avariel auras une plus grande chambre et vous aurez moins de chose a payer puisque je ne serai plus là! Je vais aller faire mes bagages maintenant.
Sa mère venait de s’écrouler sur une chaise, l’air complètement stupéfaite. Son père, continuais à boire sa bière, l’air satisfait, quand a sa sœur, elle ramassa Angie pars le bras et l’entraîna dans leur chambre, enfin sa chambre à elle maintenant.
-Mais tes complètements folle? Dit-elle à voix basse. Tu veux me laisser avec ces deux fous la??
Angie ramassait ses choses, les mettaient dans un sac de voyage, c’est fou comme elle se laisse traîner!
-Tu pars comme sa? Tu me laisse complètement seule avec eux?
-L’ambiance, je la supporte plus! J’allais devenir folle avec ses journées de malade à me lever de bonne heure et me coucher tard pour ne pas les voir! Tu vas t’y faire! Ca va aller mieux. Papa va être content, une fille en moins! Ca fait son bonheur! C’est la fille qu’il déteste le plus en prime qui part!
-Moi? Tu y as pensé à moi?
- Bien sûr! Je vais venir souper quelque fois, tu sais bien que maman ne le laisse pas partir avant que je lui promette de venir minimum deux fois semaine! Et si sa deviens trop emmerdent ici, tu passeras au manoir, je te donne ma clé. C’est simple, ma chambre c’est la dernière complètement a droite!
-Toi tu vas faire quoi sans clé? T’as l’ère fine maintenant!
-Je vais dire que je l’ai perdu, ils vont m’en donner une autre!
Angie pris sa petite sœur dans ses bras.
-Promet moi que tu vas faire très attention à toi ma chouette! Très attention!
-Promit et toi aussi! Je t’aime tu le sais sa Angie?
-Ben oui! Moi aussi je t’aime!
Après s’avoir assuré qu’elle avait bien tout pris elle sortie de son ancienne chambre et retourna dans la cuisine. Elle avait du prendre son temps pour ramasser ses choses, sa mère s’affaissait déjà à faire le souper, son père lui, était toujours assit à rien faire. Après avoir promis à sa mère de venir souper une ou deux fois par semaine, embrasser sa sœur et sa mère sur le front et dit au revoir à son père, elle partie enfin.
Bien qu’elle ait toujours rêvé de ce moment, Angie étais mélancolique. Elle avait quand même grandit, vécu dans cette maison! Il comensait à faire noir, une légère brise vint effleurer le visage de l’elfe et essuyer l’unique larme qui avait couler. Après on dernier regard, elle refit son chemin, mais à l’inverse. La place publique étais vide, plus personne seulement la pancarte qui indiquait les nouveautés. Angie si arrêta, peut-être allait-elle trouver un job! Non, rien, seulement une invitation à l’auberge scintillante pour un banquet. Pourquoi pas ce dit-elle! Après tout, elle était libre maintenant!
Le chemin fût long, mais le repos sera mérité! En entrant, Angie remarqua plusieurs personne déjà présente, elle ne connaissait personne. La plu part étais bien habiller. Angie étais tout à fait ordinaire, voile sur ses cheveux blond, haut en cuir bourgogne avec un pantalon qui si assemble. Au moins je ne passe pas inaperçu! L’elfe remarqua quelque personne qui semblaient plus important que d’autre, deux hommes semblent discuté, deux hommes qui se ressemblent et qui sont d’une grande beauté. Deux autres drow discutais, un homme et une femme. Cette drow lui disait quelque chose, oui! C’est la matrone. Angie s’assit à une table libre et commanda une bière elfique et attendit que le banquet commence.. | |
| | | Aldemis Bortefal Humain/Chevalier Noir
Nombre de messages : 6 Alignement : Mal Date d'inscription : 01/04/2006
| Sujet: Re: L’auberge des plaines étincelante Sam 8 Avr - 8:01 | |
| Après avoir dégusté son premier verre de vin, Aldemis passa bientôt à son deuxième, bien évidemment de différente sorte, le premier avait été un vin elfique, le deuxième était d’origine drowique. Bien plus corsé que le vin elfique, le vin drowique était de loin plus modeste en ce qui concernait sa préparation, pourtant il résultait de se mélange une odeur de raisin rouge et d’épice qui le laissait sans mots, buvant une première gorgée, il essaya de déterminer ses mêmes épices. La situation en était à son plus ridicule, échangeant d’un bout à l’autre le vin dans sa bouche il réussi enfin après de nombreux effort à déterminer l’épice principale qui en avait constitué l’étrange et si délicieux goût…
Kirolotimos était le nom de cette même épice, dérivé d’une sorte de plante portant le même nom, l’épice avait fermenté dans le vinaigre durant de longue semaine pour s’imprégné à pleine capacité du goût qu’elle avait maintenant. Comme il adorait le vin! Il aimait le vin autant que les fresques qui se trouvait dans l’auberge, il aimait le vin autant que la beauté qui l’entourais. N’y avait-il pas meilleur alcool que le vin? Pour lui la question était évidente… Pourtant il trouvait que le vin drowique manquait quelque chose qu’il ne pouvait identifié, son goût était un peu trop corsé, tendit que le goût du vin elfique ne l’était pas assez….
Les elfes étaient trop raffinées pour faire du vin de qualité, tendis que les drow eux s’obstinait en disant à qui voulait bien l’entendre que leurs vin était parfait. La perfection d’un vin selon les drow variaient selon la quantité de sang versé pour faire le vin… Plus de mort il y avaient dans une vinerie, meilleur étaient le vin… Cela était ridicule pensait le chevalier noir mais aucune race n’osait contredire les drow sur leurs manière de fabriquer le vin… Après tout il n’y avait qu’eux et les elfes qui en fabriquait… Peut-être était-il tant que tout cela change, peut-être que le peuple des hommes devraient eux aussi se lancer dans le marché des vin?
L’auberge lui était venu avec un terrain qui lui semblait immense, en fait quasiment toute les plaines étincelante était la propriété de l’auberge… Peut-être devrait-il planté ses propres graine de Kirolotimos et formé sa propre vinerie? L’idée lui parût alléchante, faire son propre vin, boire son propre vin et ne payer aucun frais d’importation!!! Le seul problème était le manque d’argent, en menaçant l’aubergiste pour s’approprié l’auberge il n’avait pas seulement hérité de l’auberge mais aussi de ses nombreuses dettes, maintenant il faisait un banquet sous son bras pour faire revaloir l’auberge et peut-être chercher quelques chef d’état intéressé à le supporter dans le projet de sa vinerie…
Après tout, les plaines étincelantes était en terrain neutre, situé à une distance plus où moins égal de tout les royaumes, il ne tombait donc en aucun cas en conflit d’intérêt en cas de guerre…. L’endroit était idéal pour son projet mais les investisseurs manquait… Bien qu’il fût habituellement arrogant et prétentieux il réalisait qu’être seul pour s’occuper d’une telle entreprise reviendrait à la saboter lui-même… Ha! Si seulement il savait où se trouvait son frère!! Encore une fois il regrettait d’avoir brûler la demeure familial… Mais bon il ne pouvait retourner dans le passé et corriger ses erreurs alors il se mit à penser à autre chose…
Se levant, il se dirigea vers le garde qui était devenu par la force des choses son homme de confiance, un homme d’une ossature assez imposante, équiper d’une armure lourde, d’une lance et d’une épée tout cela couronner par la magnifique cape décorée de l’emblème de l’auberge. Une étoile rouge écarlate entourée de deux épées dorées qui s’entrecroisait au-dessus de l’étoile se qui lui donna un instant l’impression que le garde était un riche seigneur…Cette pensée le fit sourire car bien évidemment s’est lui-même qui avait peint cette emblème, flattant son propre égaux, il trouva la chose assez causasse quoique qu’inutile… Avoir investi le peu d’argent qu’il avait dans l’armement et l’habit d’un garde avait peut-être été stupide mais cela avait été sa première priorité. Il refusait que son garde le fasse honte et par conséquent il s’était arrangé pour réglé se détail.
-Deldrian, interpella Aldemis, j’ais une mission de la plus haute importance à vous confiez.
-Quel est-elle monseigneur, demanda le garde chiquement vêtu, Que puis je faire pour être digne de vous servires?
-Allons….cesser cela immédiatement! S’écria Aldemis, je n’apprécie guère vôtre ton sarcastique! Ce serait dommage de tâcher vos habits?!
-Mes habits?? Demanda le garde hébété, vous, vous souciez de mes habits? Plus que de ma propre vie?
-Vôtre vie ne m’est rien, lui répondit le chevalier noir amusé par l’étonnement du garde, mais vos habits eux m’est inestimable, il m’en à coûté plus d’un an de vôtre salaire pour importer les morceaux de tissu nécessaire à la fabrication jusqu’ici, plus les six heures que cela m’as pris à coudre tout cela et à agencé les couleurs!! -Vous avez cousu mes habits? Demanda encore plus confus que jamais Deldrian, humm…Vous êtes un seigneur très étrange…
-Gardez vos remarques pour vous, s’écria Aldemis avec une pointe de colère, N’y à t’il plus belle passion que de coudre et de peindre? Les arts sont un domaine auquel je m’intéresse depuis toujours… Ne trouvez-vous pas vos habits d’une beauté implacable?
-Je ne sait pas…s’exprima enfin le garde après un instant de silence, je ne suis pas un grand connaisseur dans se domaine…
-Voilà pourquoi vous n’êtes qu’un simple garde, ricana le maître de l’auberge, et moi le maître d’œuvre!
-Je ne comprend rien à se que vous dîtes, déclara Deldrian avec confusion, si je comprend bien en étudiant l’art je pourrait devenir le maître??
-Laisser tomber, s’écria encore une fois Aldemis, vos ambitions ne resteront qu’à leurs état embryonnaire jusqu’à la fin des temps!!! Car vôtre cerveaux est aussi petit que le pois qui se trouve dans vôtre soupe!!
-Embryonnaire? Questionna à nouveau le garde, je ne comprend pas?
-Par tout les dieux!!! S’écria Aldemis avec désespoir, ne me posez plus de question!!! Vous me découragez et je ne peut pas me permettre de vous tuez! Surtout que vous êtes le seul garde à faire la taille que vous faîtes! Si je vous tue, votre habit ne servira plus à rien! Bon… Je veut que vous alliez à Goral portez l’invitation à mon frère.. Je ne sait pas où il se trouve, mais vôtre mission consiste à le trouver.
-Mais maître, protesta le garde, je ne peut pas m’absenter aussi longtemps… J’ais une famille à nourrir… Ma femme me tuerais si elle savait que je partirait aussi longtemps… En plus monseigneur… Nous ne possédons pas de chevaux… j’en aurait pour des semaines à me rendre à Goral… plus les frais que cela m’en coûterais pour me nourrir en plus des risques que des voleurs de grand chemin me tue…. Vous ne voudriez pas retrouvez vôtre habit déchiqueter par des bêtes sauvages? Ricana finalement le garde
-Vous, vous moquez de moi? Demanda Aldemis sachant déjà la réponse, mais vous avez raison sur un point, les routes ne sont pas sûres…. D’ailleurs il n’y a aucun grand chemin qui mène d’ici jusqu’à Goral… Bon dans se cas… Engagez un messager, prenez sa famille en otage, s’il le faut mais bon dieu, faîte qu’il me retrouve mon frère! Est-claire?
-Oui, répondit le garde, tout est parfaitement claire…
Alors qu’Aldemis regarda Deldrian en action il ne pût qu’être impressionner par les habits qu’il avait lui même fabriquer, il devrait peut-être penser à s’ouvrire sa propre ligne de couture se surpris t’il à se dire… Bien qu’il était conscient de la stupidité de son garde préféré, il était l’une des rares personne avec lesquelles il était capable de s’entendre, et surtout l’une des rares personne qu’il respectait quelques peut… Un simple garde pourtant si amusant à regarder agire… Et en plus ses habits lui faisait avec une élégance surprenante! Peut-être était-ce la seul chose qui lui faisait l’apprécier mais peut lui importait la raison, il lui donnait des ordre et lui y obéissait! Une relation en toute simplicité mais pourtant plus qu’efficace.
Le garde revînt quelques heures plus tard pendant que l’étrange chevalier noir était occupé à peindre un portrait de sa mère, il sourit à l’idée qu’une fois terminé le visage de sa mère ferais une excellente cible pour un jeu de dard. Deldrian lui avoua qu’il avait accompli sa mission et qu’un messager était en route pour trouver son frère, lui faisant signe de retourner à la porte, Aldemis monta à l’étage et alla se reposer pour être frais et dispos pour le lendemain.
Douze heures plus tard, il se réveilla dans son lit, la serveuse qu’il avait nouvellement engagée, à ses côtés. Après l’avoir brutalement réveillé et lui avoir ordonner de se levé pour commencer les préparatifs du banquet, Aldemis se rendit au cuisine et ordonna à l’aubergiste de préparé plusieurs plats variés pour tout les goûts. Les préparatifs avançant à bon train, le chevalier noir retourna à son chevalet et réussi enfin à terminer le tableau de sa mère qu’il accrocha au-dessus de la porte menant au fausse sceptique, se félicitant d’avoir choisi cet endroit il retourna à son comptoir et se versa une autre coupe de vin pour arrosez sa nouvelle peinture conforme en tout point au visage de sa mère, les traits aussi sévères, sa beauté naturelle malgré son âge avancé et ses incroyables bijoux ornant son coup et ses oreilles….
S’est alors qu’après quelques heures d’attente il aperçu enfin un visage familier pénétré dans son auberge, un visage qui était pratiquement aussi beau que le sien, cependant un peut plus âgée…Malgré tout, il ne restait pas moins que se visage avait la beauté de sa mère avec un peut plus de sang paternelle que lui en avait eu… Se levant vers son frère, Aldemis éprouva une joie qu’il n’avait que rarement ressenti, comment aurait-il pût en être autrement, après tant d’années de séparation ils se retrouvèrent!
-Mon frère, s’écria Aldemis en lui faisant une accolade fraternel, Cela fait si longtemps que nous, nous sommes vue!!! Ha…. Je suis heureux de voir que tu n’es pas devenu un noble imbécile comme nos parent voulait que l’ont devienne! Mais…. Je trouve tout de même que tu manque d’un certain style… et aussi d’un bon toilettage?!
Puis faisant quelques pas en arrière, il le contempla de nouveau et lui seras subitement la joue gauche comme il l’avait si souvent fait lorsqu’il était petit.
-Bienvenue dans mon auberge grand frère! puis sur un ton plus grave il réouvrit la bouche, je dois t’avouer quelque chose, Briardom… J’ais tués mère et père… Les imbéciles me croyaient riche et voulait à tout pris que je leurs donne de l’argent… Mais le plus grave… se dont je ne peut me pardonner… J’ais brûlez nôtre demeure familiale…
Alors qu’il essaya de jugé avec incertitude la réaction de son frère, le chevalier noir aperçu une drow forte belle pénétrer dans l’auberge et s’asssire à une table. Il l’observa un moment avec amusement, observant avec détail ses courbes délicates, bien qu’il pensa un moment au plaisir de la chaire, son esprit fût subitement tourné vers le désire d’immortaliser son incroyable beauté dans l’une de ses peintures… Cette idée l’obséda à tel point qu’il faillit en oublier son frère.
Puis alors qu’il quittait le merveilleux monde de ses pensés un autre inconnu pénétra dans l’auberge, ne lui portant guère attention il se retourna vers la drow qui occupait ses pensées…. Et comme si cela n’était pas assez un autre êtres pénétra dans son auberge, un être qui cette fois semblais sortire tout droit d’un compte qui n’était pas capable de se rappeler… Il remarqua avec une certaine méfiance qu’il était lui aussi drow et que cette même créature n’arrêtait pas de le dévisager… Et d’où diantre pouvait bien arrivé se drow? Torse nue, il le dévisageait sans aucune gêne…
Le corps du nouveau venu semblait aussi frigide que le marbre et son regard semblait dénudé de toute vitalité… Pourtant malgré la méfiance qu’il éprouvait, il devrait l’immortaliser sur une de ses fresques et peut-être lui confectionner une tenue qui lui recouvrirait le torse… Un torse qui était bien plus bombé que le siens… Il en éprouva aussitôt une certaine jalousie et lorsqu’il vit le drow s’avancer vers la sublime drow il éprouva un vilain désire de l’expulser de son auberge!
Cet avorton l’avait devancé!!! Il observa le drow s’arrêté en face de la drow puis lorsqu’il lui adressa la parole avec une allocution qui ne faisait qu’augmenter sa jalousie et sa colère il se retourna vers son frère essayant de penser à autre chose… Mais il ne pouvait détourner les yeux de l’inébranlable femelle drow, qui à sa grande surprise envoya promener le mâle. « Amateur » se surprit-il à murmurer en ricanent… Puis regardant toujours la scène il vit la drow détourner les yeux du mâle et s’occuper plus en détaille du verre qu’elle avait commandé à la serveuse…
Enfin après s’être rassuré que le drow avait perdu toutes ses chances avec celle qu’il convoitai, il se retourna une fois de plus vers son frère et lui fit l’un de ses plus beau sourire, puis donnant un léger coup d’œil à l’elfe qui venant de rentrer, il retourna une deuxième fois vers son frère.
-Alors mon frère, lui dit Aldemis d’un ton rassurant, quelles sont tes intentions? | |
| | | Melkian Vostros Drow/Vampire
Nombre de messages : 89 Alignement : Bien Date d'inscription : 17/03/2006
| Sujet: Re: L’auberge des plaines étincelante Sam 8 Avr - 8:03 | |
| Melkian regardait la mère matrone d’un aire hébété, comment avait-il être stupide au point de la confondre avec sa mère… Il avait fait sans le vouloir il erreur monumental, bien qu’elles se ressemblait tout les deux, elle avait la peau un peu plus claire que celui de sa mère… Enfin malgré tout, le vampire s’assit en face d’elle et écouta le discours qu’elle prononça. Lui disant qu’il avait tuer son père, grand sénateur très apprécier parmi les drow, mais savait-elle au moins pour quelle raison il avait fait cela.
Savait-elle que son père n’était pas aussi pacifique qu’il le laissait paraître, savait-elle que pour préservé cette même paix, il avait fait tuer plusieurs membre important du grand conseil? Savait-elle qu’il avait tué son seul amour de son vivant?? Savait-elle que pour amour pour une prêtresse, il avait tué son père, que par loyauté envers le peuple des drow, il avait été s’isolé afin de purger une sentence qu’il s’était lui-même infliger… Non bien-sûre elle ne savait rien de cela… Où peut-être voulait-elle simplement l’ignorée… Comme avait fait la plupart des autres drow s’interdisant de souiller la mémoire de son père…
Bien malgré lui, il entendit soudainement un sombre ricanement s’élever des lèvres de l’être humain au visage d’ange, un ricanement qui n’avait rien d’amical et qui s’obligeant à se l’avouer à lui même le mettait en colère…Il ne savait bien-sûr pas que la créature humaine riait en fait de lui mais il pouvait en douter… Retournant la tête vers la matrone il la regardait d’un aire aussi placide qu’il avait regarder le drow qu’il avait tué quelques heures auparavant…
Son cœur s’emballait, ses yeux se plissait, la colère l’envahit, diantre qu’elle était belle se surprit-il à penser… Si belle et si cruelle… Il en était dommage car sa beauté en était altéré à ses yeux, son torse dénudé se contracta une seconde fois, il humait maintenant de son nez, l’odeur du sang qu’elle dégageait, une odeur qui le forçait à détourner le regard… Pensant à des pensées qui lui était maintenant interdit il se voyait en train de savouré son sang, de lui dénudé la peau, de lui caresser doucement la nuque et enfin d’y plonger les dents.
Serrant fermement les poings, jusqu’à se que les ongles de ses doigts lui transpercent la peau et que de légère goûte de sang s’écoule de la paume de ses mains… Il se dégagea adroitement de sa propre étreintes et devant le regard absent de la matrone il licha le sang qui s’écoulait de ses plais… Chaud et consistant il lui fit oublier un instant l’endroit dans lequel il se trouvait, il vînt même à en oublier que la matrone le regardait…
Mais cela lui était à vrais dire égal… La transe dans lequel il se trouvait ne dura que quelques secondes à peine et après avoir but la dernière goûte de sang qui s’écoulait de sa paume il releva le regard sur sa tendre et si cruelle matrone. Pensant à se qu’il pourrait bien répondre, il garda durant plusieurs minutes le silence, laissant les mots qu’avait prononcé la matrone s’évanouir de sa mémoire et en oublié le sens… Laissant la colère qu’il avait ressentit avec tant de violence s’estomper, il avait enfin retrouvé son calme…
-J’en suis désolé, prononça t’il en langage drowique, vôtre mère aurait peut-être compris le sens de mes actions posé… Mais quoi qu’il en soit elle n’est plus et je vous présente mes condoléances.
Laissant le silence s’installer, il la regarda d’un regard un peut plus tendre et continua son discours en langage drowique.
-Croyez moi, dit-il enfin, j’ais payer plus que chèrement se que j’ais fait… Si seulement vous saviez la moitié de se que je sais vous en seriez stupéfaite. Mais cela n’a aucune importance maintenant, se qui à été fait ne peut pas être défait, je ne peut qu’à cette fin vous expliquez se qui s’est réellement passé…
Détournant lentement les yeux il se remémora les paroles de son père et enchaîna sur un ton beaucoup plus sévère.
-Je suis une abomination, déclara t’il après un court moment de silence, je suis une abomination et une honte pour le peuple des drow. J’ais aimer plus d’une fois, j’ais idolâtrer une déesse qui n’en était pas une, je suis un être de bonté et d’amour que mon père refusait d’accepter! J’était destiner à suivre ses traces mais je ne pouvais me résoudre à employer ses manières, sadique et vicieux, ses discours de paix n’était que pure mensonge! Tout cela n’était qu’un moyen plus subtile pour perpétré des meurtres sans que le conseil ne le blâme! Je sais que tout cela est dure à admettre…. Je sais que tout cela n’est dû qu’à l’incompréhension borné de nôtre peuple…
Plongeant à nouveau dans un silence il pris le temps de recouvré un peut de salive puis il continua. -Je ne sais pas si vôtre mère se doutait de quelque chose, lui avoua t’il, mais après que mon père est tuée ma bien-aimé prêtresse j’ais dû la venger par amour et par haine. Comprenez-vous ce sentiments, matrone? Comprenez-vous à quel point je l’ais aimé… Je ne crois pas… Pardonnez moi cette outrage mais je me déteste, je vous détestes et je méprise chacun des drow qui foulent se monde! Je ne suis plus un drow au sens propre maintenant…. Matrone, je vous demanderais donc de contrôler la colère qui résultera de mes insultes à vôtre égard…
Lui faisant l’un de ses plus beau sourire il continua.
-Non, continua t’il, je ne suis plus une créature maléfique, je ne suis plus un être qui à vécu dans la haine et l’immoralité! Mais malgré vôtre puissance matrone, vous ne me faîtes aucunement peur et cela je vous demandes de le considérez car vos menaces seront futile…. Vous êtes si belle, mais je doute que vôtre cœur soit pure et si vous tenez un tantinet de vôtre mère vôtre réaction serait de me tuer sur le champ…Non? Loin de moi l’idée de vous narguez je vous assures, ce n’est qu’une mise en garde, une mise en garde que je vous dictes par amour pour vôtre beauté, je ne suis plus un drow… Je suis quelque chose d’incompréhensible, je suis une créature de la nuit… Je suis un buveur de sang… Je crois que les légendes m’ont donner le nom de vampire…
Souriant de plus belle, il lui dévoila ses canines beaucoup plus développer que chez un être ordinaire, puis relevant la paume de main qui avait saigné il lui montra que la plaie s’était refermé.
-Me croyez-vous? Demanda t’il sans arrogance, Je possède des pouvoirs qui me surprennent moi-même, j’ais tué plusieurs de mes semblables, je dois l’avouer… En fait, nous avons tué plusieurs de nos semblable devrais-je dire… Car la déesse que je vous ait avouez que j’avait idolâtré n’était autre que la première d’entre nous… Je lui ait succomber corps et âme et par amour pour la vie nous avons éliminée la plupart d’entre nous… Je ne sais même pas si il reste quelque part une créature comme moi?
Son sourire s’était subitement refermé, ses yeux s’inondait de larmes et sa peau semblait se décontracté.
-J’ais dû la tuée, lui dit-il, je ne sait pourquoi je vous dit tout cela, peut-être pour vous faire comprendre se que je ressent. Je dû la tué car elle était devenu folle… S’était là le plus dur combat moral que je dû faire et le plus dur combat physique que je ne mènerait jamais… Je… Je tien à obtenir vôtre pardon, je tien à obtenir la tranquillité d’esprit en vous disant tout cela, je tient à se que vous me pardonniez pour le meurtre de mon père, je tien à se que vous m’acceptiez et que vous accepteriez mes services… Je veux vous êtres dévouez et œuvré pour le bien de nôtre race… Dîtes moi, grande matrone, dîtes moi je vous en pris m’acceptez vous?
Une lueur d’espoir dans les yeux il regardait la matrone dans l’espoir qu’elle accepte… Car dans le cas contraire… Il devrait s’isoler, car dans le cas contraire il n’aurait plus aucune utilité et il devrais se détruire par amour pour les êtres vivant… | |
| | | Briardom Bortefal Humain/Chevalier Noir
Nombre de messages : 28 Alignement : Mal Date d'inscription : 03/04/2006
| Sujet: Re: L’auberge des plaines étincelante Sam 8 Avr - 12:05 | |
| Lorsqu’il vu son frère se lever, il ne pus s’empêcher d’ouvrir les bras et de le serrer contre lui, ce laissant vulnérable, la confiance qu’il avait pour son frère était absolu et rien n’au monde n’aurait su l’altérer, du moins rien qui n’ai déjà effleuré sont esprit. Le crainte de le broyer, il desserra son étreinte. Des yeux, il observa son frère, il était toujours plus petit que lui et conservais merveilleusement sont visage d’ange. Il n’avait pas changé de forme, seulement grandit, ses yeux n’avait pas perdu leur éclat de folie, tout était comme jadis. Ce fut son frère qui commença la discussion, sans doute était-ce mieux ainsi. Il l’écouta, comme il l’avait toujours fait, les commentaires de son frère sans trop s’y soucier.
Aldemis semblait plus se soucier de ses vêtements et de la grasse qui recouvrait son visage que de sa propre personne, il aurait bien voulu prendre un bain avant sa venue, mais sa bourse était vide et il n’avait pas aperçu le moindre lac durant le chemin. Son frère devra s’en passer. Il lui déclara avoir brûlé la maison… et d’avoir tué leurs parents. Il eut un pincement au cœur en se rappelant sa chambre...
-Je sais…je vu la maison brûlée…affirma-il, c’est dommage, mais cette maison ne valait pas grand-chose, de plus je n’aurait pas apprécié y vivre…il s’arrêta un instant, persuadé qu’il avait oublié quelque chose…Ha ! oui…nos parents...que le diable est leur ames…ricana-il
Il s’aperçu bien rapidement que son frère ne le regardait plus, intrigué il tourna la tête vers se qu’il semblait regarder. Deux drow était assis la, une femme et un homme. La femme était belle, sans doute une prêtresses, le genre de femme qui a charmer tellement d’homme qu’elle a en oublié l’utilité. Le drow, lui, bien qu’il ne pouvait caché son attrait physique, lui semblait préoccuper par autre chose, son visage souriant et ses yeux narquois lui en donnait impression. Il était torse nu…était-ce par fierté ou simplement par pauvreté?, il n’aurait su en jugé.
Ses yeux continuèrent a évaluer les gens de la pièce, une elfe était assise a une table, l’air dépitée, probablement une de ses elfes bourgeoise qui trouvait la vie trop dur pour être vécu…Les elfe pensa-il, toujours a se plaindre sur les philosophie du monde, sur les petits détails, a se plaindre sur tout!
A deux table plus loin, un homme était assis, il portait une armure argenté ce qui n’était pas sans lui rappelé un paladin. Rien de particulier ne vint le frapper.
Soudainement, son frère lui adressa la parole, il secoua la tête surpris, reconstitua la question mentalement et répondit
-A vrai dire, je suis d’abord venu ici pour te rencontré, j’ai aussi pensé a me trouver du travail auprès de ceux qui viendront pour se soir…Car voit-tu, expliqua-il ennuyé, je suis sans emploi permanent…les guerres commencent a se faire rare et en tant que guerrier, personne ne souhaite m’engagé…J’espérais donc pouvoir trouvé un ou deux *seigneur* qui souhaiterait m’engagé comme mercenaire ou garde du corps…Mais je vois que les affaires vont bien pour toi…il pensa un instant faire un commentaire se que semblais convoité son frère, mais s’abstint,
Il jeta un dernier coup d’œil a la pièce, il plia les doigts sur quelque chose de froid,…sur…le naginata! Il l’avait complètement oubli, il le tendit à son frère
-L’arme familial…je te l’offre, ses tout se qui reste de notre jeunesse dit-il avec un soupçon de colère, une belle arme…toujours tranchante…elle m’est d’aucun utilité…je préfère mon épée
Il désigna son fourreau de sa main libre
-Elle est a toi…je me demandais…cela te dérangerais-il si je prenais un bain avant le banquet? Puisque tu semble préoccupe par mon apparence…le taquina il..
Il passa à gauche et demande à l’aubergiste un verre de vin drowique, le voyage lui avait donné soif. Unr fois le verre en main, il se tourna vers Aldemis. | |
| | | Caliste Drow/guerrière(matrone)
Nombre de messages : 44 Alignement : Pour la fin de l'isolement des drows!! Date d'inscription : 13/03/2006
| Sujet: Re: L’auberge des plaines étincelante Sam 8 Avr - 15:28 | |
| Losqu'elle détacha enfin son regard du verre, Caliste constata que le "drow" semblait obsédé par le sang qui coulait de sa paume noire. Pourquoi se délectait-il de ce sang? La Matrone connaissait fort bien la réponse, mais elle préférait ignorer le tout. Elle remarqua tout de même qu'un certain charme résidait encore en lui; il avait encore une certaine douceur dans son coeur, bien qu'elle le sentit très froid. Il parlait de sa mère comme si elle avait été la plus cruelle des Matrones de Qwyk' wyrken.
- Vous ne connaissiez pas ma pauvre mère. Je ne sais point ce que votre père vous a raconté à son sujet, mais elle n'aurait jamais tué sans raison. C'était une drow qui désirait plus que tout prouver aux races de la surface que nous ne sommes pas des créatures avides de sang. Elle désirait aussi faire entrer nos marchands dans les marchés interraciaux et éliminer la discrimination envers notre race, dit-elle avec fièreté. On a longtemps soupçonné votre père de vouloir assassiner la Matrone, mais j'étais, bien que très jeune à l'époque, la seule à croire en son innocence. Maintenant, avec ce que vous me dites sur ses intentions, je doute de son innocence. Ma chère mère est morte de la main des demi-drows, peut-être, mais sous la demande d'un drow de la haute,avec certitude. Quelqu'un qui était contre l'ouverture de la colonie drow avec le monde de la surface.
Après plusieurs minutes à fixer da paume, ce fut Melikian qui prit la parole. Bien qu'elle ne voulait pas le savoir, il lui avoua ce qu'elle redoutait: il était belle et bien une créature de la nuit, une créature avide de sang comme dans les légendes de son enfance. C'était un vampire. Tentait-il de la séduire et de la transformer en vampire pour qu'elle lui serve de jouet sexuel? Elle ne croyait pas, car elle n'aurait pas ressentit ce point de bonté caché au fond de son coeur. Lorsqu'il lui dévoila deux canines acérées, la drow eut un mouvement de surprise et porta sa main à sa bouche.
- Par tous les dieux de la nuit, murmura la femme à la peau sombre. Qu'avez-vous été faire? Vous avez vendu votre âme aux enfers?
La jeune Matrone vit bien qu'il semblait regretter ce geste, mais elle ne pouvait faire autre que d'entourer son âme et son coeur d'une méfiance. Existait-il un vampire capable de regret? Si un être de la nuit, comme eux, était capable de simplement aimer, Caliste tenta de le croire. Elle essuya une larme qui s'était frayée un chemin jusqu'au menton du mâle. Il lui offrait ses services et ce, sans rien en retour. Il lui demandait son pardon. Son pardon, pourquoi? Pour le meurtre de son père? Bien que c'était du passé, elle accepta, mais elle prit quand même quelques minutes de réflexion pour ce qui était de ses services.
- Vous savez, j'aime le jour. Je n'ai jamais compris d'où me venait cet amour pour le jour, mais je ne peux m'empêcher de frémir lorsque le soleil chatouille ma peau d'ébene et de rire aux éclats lorsque celui-ci brille de mille feux. La seule condition que je veux que vous respectiez, si j'accepte vos services, est de ne pas me demander de sacrifier le jour pour la nuit. Une puissance règne en vous et je sais qu'il serait simple pour vous de me détruire, dernière Matrone de sang de Qwyk' wyrken que je suis, pour accéder au trône de la cité et imposer un règne de terreur comme le peuple l'a déjà vécu il y a cent ans, à la disparition de la Matrone précédante. Vous devrez aussi gagner graduellement ma confiance, car je resterai néamoins sur mes gardes.
Après avoir eu les yeux brillants d'une gamine en parlant de sa passion pour le soleil, elle regarda le vampire d'un regard sérieux et remplit de menace.
Elle tourna ensuite la tête vers les deux hommes qui semblaient frères et remarqua que celui qu'elle avait confondu avec un demi-elfe dégageait une certaine jalousie, mais la jeune drow ne comprenait pas ce qui avait bien pu déclancher ce sentiment chez cet homme. Ce n'était pas l'autre homme qui avait déclanché la jalousie, car dès qu'il fut tourné vers celui-ci, celui au visage d'ange se calma aussitôt. C'est alors qu'elle remarqua pour la première fois que le drow était torse nu. Elle le regarda amusée.
- Vous vous êtes dénudé pour impressionner la Matrone? dit-elle, à la blague. | |
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